Luis Enrique, ce samedi au Campus de Poissy lors de l'entraînement. AFP/Franck Fife
Ce dimanche, le PSG termine la phase aller du Championnat de France par la réception de Saint-Étienne, 16e de Ligue 1, au Parc des Princes à 20h45. Déjà champion d’automne, il s’agit de son premier match de l’année en France après sa victoire au Trophée des champions le 5 janvier à Doha au Qatar. À la veille de ce rendez-vous, pour lequel le capitaine Marquinhos est forfait, Luis Enrique, l’entraîneur de Paris, était en conférence de presse au Campus de Poisy.
On prépare tous les matchs et le plus important est celui contre Saint-Étienne. On doit le préparer comme si c’était un match de Ligue des champions. C’est la grandeur de notre équipe. Ce qui se passe dans deux ou trois semaines, ce sont des phrases, des clichés. Celui que l’on contrôle, c’est le match de demain. Saint-Étienne a besoin de faire les choses bien et le Parc est une vitrine idéale pour cela. Je ne sens aucune pression à l’approche de ce match.
Il y a six matchs en janvier. Si on ne gagne pas contre Espaly (mercredi 15 janvier), on est éliminés de la Coupe de France. Si on ne gagne pas trois ou quatre points en Ligue des champions, on est éliminés. Si on perd trois matchs en championnat, on n’est plus premiers. Moi, je pense toujours l’inverse. Pourquoi devrais-je être négatif ? C’est mieux d’affronter les choses avec une vision positive.
Dans tous les aspects du jeu. Défensivement et offensivement.
Je suis très heureux. Les contrats sont des papiers mouillés. Je n’ai pas de problème à signer des contrats d’une semaine. J’ai besoin de me sentir important ici et je me sens important. Je sens la confiance de la direction sportive. Ce qui m’intéresse, c’est de profiter de chaque jour. Si on ne veut plus de moi, je m’en vais mais en attendant, je veux profiter d’entraîner le PSG.