Le virus mpox, anciennement appelé variole du singe, se caractérise par des lésions cutanées, une forte fièvre et des douleurs musculaires. Le tout premier cas humain d’infection par le variant clade I du monkeypox a été diagnostiqué sur le sol français, en Bretagne.
L’alerte avait été donnée en août 2024, après l’identification du tout premier cas en Europe, faisant craindre une augmentation du nombre de cas sur le Vieux Continent. Après la Suède, des cas avaient été répertoriés en Allemagne, au Royaume-Uni, en Belgique et désormais en France.
Le virus mpox a été identifié pour la toute première fois en République démocratique du Congo (RDC) à la fin des années 1960. D’abord circonscrite à une dizaine de pays africains, la maladie a commencé à s’étendre au reste du monde en 2022.
Après clade 1, la souche historique, et clade 2, une nouvelle souche du virus, clade 1b, a fait son apparition, déclenchant une nouvelle « urgence de santé publique de portée internationale » en août 2024.
Le virus se caractérise par des lésions cutanées, une forte fièvre, une grosseur dans le cou ou à l’aine (ganglion) et des douleurs musculaires. Des complications peuvent mener à une forme plus grave de la maladie. À ce jour, le seul moyen de prévenir la maladie est la vaccination.
La vigilance est de mise face à l'émergence du virus mpox en France. Les autorités sanitaires mettent en place des mesures pour limiter sa propagation et protéger la population.