Le Ministère des Transports remet au Suprême 203 "rapports d'activité" de Jésica à Ineco bien qu'elle n'ait jamais travaillé là-bas

Découverte de rapports de travail

Le ministère des Transports a découvert 203 rapports quotidiens de travail de Jésica Rodríguez au sein de l'entreprise publique Ineco, bien qu'elle ait admis n'avoir jamais travaillé. Cette situation soulève des questions sur la véracité de ses déclarations et sur le fonctionnement interne de l'entreprise.

Selon la nouvelle documentation fournie au juge, Jésica a cessé d'envoyer des courriels concernant ses activités quotidiennes pendant seulement 13 jours. Pendant les autres jours ouvrables, il existe des preuves d'un échange de courriels avec ses supérieurs, ce qui remet en question ses affirmations.

Contexte des rapports d'activité

Le rapport du ministère précise que, entre le 18 mars 2020 et le 28 février 2021, un système de suivi des activités a été mis en place pour les équipes pendant la pandémie. Au total, il y a eu 248 jours ouvrables durant cette période.

Après avoir exclu les jours fériés et les vacances, Jésica disposait de 216 jours de travail effectif. Cela souligne l'importance des rapports d'activité dans le cadre de la gestion des ressources humaines au sein d'Ineco.

Éléments de preuve recueillis

Selon Ineco, les courriels découverts lors de l'enquête interne contiennent des fichiers Excel en pièce jointe, résumant les tâches quotidiennes et le nombre d'heures consacrées à son travail. Ces éléments sont cruciaux pour comprendre la nature de son engagement professionnel.

De plus, la société publique indique que Jésica a maintenu un contact régulier par mail avec ses responsables, ce qui témoigne d'un échange actif concernant ses activités, tant en termes de tâches que d'heures travaillées.

Implications de cette affaire

Cette affaire soulève des préoccupations sur la transparence et la responsabilité au sein des institutions publiques. Les allégations de travail fictif pourraient avoir des répercussions sur la confiance du public envers les administrations.

Il est essentiel que les résultats de l'enquête soient examinés attentivement afin de garantir que les pratiques de travail au sein d'Ineco soient conformes aux normes éthiques et professionnelles. La situation de Jésica Rodríguez pourrait également entraîner des changements dans les procédures internes de l'entreprise.

Conclusion

En résumé, l'affaire de Jésica Rodríguez met en lumière des questions cruciales sur la gestion des ressources humaines et la véracité des rapports de travail au sein d'Ineco. Les preuves recueillies jusqu'à présent soulignent la nécessité d'une transparence accrue et d'une surveillance stricte des pratiques de travail.