Pierre-Jean Chalençon, un collectionneur passionné par l'époque napoléonienne, a récemment dû faire face à des défis financiers. Son palais Vivienne, situé dans le IIe arrondissement de Paris, devait être vendu aux enchères. Cependant, un report a été accordé, offrant un répit à Chalençon.
Initialement prévu pour ce jeudi, l'enchère a été repoussée au 19 juin 2025. Ce changement est survenu suite à un incident juridique évoqué par l'avocat de Chalençon, Paul Buisson. La défense envisage maintenant la possibilité d'une vente amiable ou d'une nouvelle date d'enchères.
Le palais, d'une superficie de 500 m², était évalué à 8 millions d'euros. Cette somme devait permettre de rembourser les dettes de Chalençon, qui s'est fait connaître grâce à l'émission « Affaire conclue » sur France 2.
Le palais Vivienne, avec ses six salles d'apparat de style Empire, était pour Chalençon un véritable rêve d'enfant. Il y organisait divers événements, mais a également fait parler de lui pour avoir tenu des dîners clandestins durant la pandémie de Covid. Chalençon avait acquis cette propriété en 2015 pour 6 millions d'euros.
Malgré ses difficultés financières, Chalençon a exprimé sa satisfaction face au report de la vente. Il a déclaré au Parisien qu'il souhaitait travailler à une vente amiable avec des investisseurs.
Chalençon a affirmé ne pas être criblé de dettes et se sentir bien. Il a insisté sur le fait qu'il était en mesure de gérer la situation. Son optimisme face à l'avenir de son palais témoigne de sa détermination à retrouver un équilibre financier.
Le report de la vente du palais Vivienne offre un nouvel espoir à Pierre-Jean Chalençon. Avec des perspectives de vente amiable, il pourrait retrouver un équilibre financier. Son histoire, marquée par des hauts et des bas, continue d'intriguer le public et de susciter l'intérêt des médias.