
Un morceau de photo calciné, trouvé sur l'une des scènes de crime, pourrait relier des braquages meurtriers ayant causé 28 morts en Belgique entre 1982 et 1985. Cette découverte mettrait en lumière un lien avec une bande de malfaiteurs français de Charleville-Mézières, active à la même période.
Des mèches de cheveux blonds sur une vieille photographie, perdues dans deux millions de pages de procédure, ont récemment réapparu. Cet indice pourrait transformer l'enquête sur les tueurs fous du Brabant, une série de meurtres et de braquages sanglants non résolus en France et en Belgique.
Entre 1982 et 1985, ces crimes ont causé 28 morts en Belgique, sans qu'aucun suspect ne soit arrêté. Pendant quatre décennies, les enquêteurs wallons et flamands ont suivi des pistes infructueuses, notamment celle d'un complot politique impliquant des militaires d'extrême droite.
Les investigations ont souvent été marquées par des impasses, rendant ce dossier l'un des plus grands mystères criminels contemporains. Les pistes explorées n'ont pas abouti, laissant les familles des victimes dans l'incertitude.
Les enquêteurs ont cherché des réponses, mais les éléments de preuve se sont révélés insuffisants pour établir des liens clairs. Ce nouvel indice pourrait offrir une lueur d'espoir dans cette affaire complexe.
Le retour de cet indice met en avant l'importance de la mémoire historique dans les enquêtes criminelles. Les éléments oubliés peuvent parfois fournir des réponses inattendues, même des décennies après les faits.
Alors que l'enquête continue, l'attente pour les familles des victimes reste difficile. La révélation de cet indice pourrait être le tournant tant attendu dans la quête de justice pour les victimes de ces crimes tragiques.
La réapparition de cet indice soulève des questions cruciales sur le passé. Les enquêteurs espèrent qu'il pourra enfin éclairer l'une des affaires les plus sombres de l'histoire criminelle belge. Un nouvel espoir se dessine pour les proches des victimes, qui attendent toujours des réponses.