Au quatrième jour de leur procès devant la cour d’assises des Vosges, les accusés sont jugés pour avoir violemment passé à tabac une jeune femme en 2022. Les interrogatoires portent sur leurs responsabilités respectives. La victime, Marie (prénom modifié), a tenté d'éclaircir les événements de cette nuit tragique.
Mercredi 8 octobre, Marie a témoigné à huis clos sur cette soirée de l’horreur. Elle a décrit avoir été violée le 1er juin 2022 à Liffol-le-Grand, à cause d'une liaison avec un homme en couple. Cependant, elle ne peut pas identifier ses agresseurs ni expliquer les circonstances.
Lors de son témoignage, elle a partagé ses sensations corporelles durant l'agression. Marie a déclaré : « J'ai senti des choses dans mon corps, mais je ne peux pas dire quoi ni à cause de qui. » Son avocat, Me François-Xavier Wein, souligne que son principal traumatisme est qu'elle se croyait morte.
Marie a exprimé son désir que cette horreur cesse. Elle se répétait : « Vivement qu’ils m’achèvent. » Ce calvaire était insupportable pour elle. Elle se rappelle surtout d’un énorme coup de pied qu'elle a reçu avec force, ce qui a marqué son esprit.
Ce témoignage poignant met en lumière la violence subie par la victime. Malgré son épreuve, Marie a tenté de partager son expérience, même si cela reste difficile. La cour doit maintenant prendre en compte ses paroles pour rendre justice.
Ce procès met en avant des réalités tragiques. La souffrance de Marie et son courage à témoigner sont essentiels pour comprendre l'ampleur de la violence subie. La justice doit agir avec rigueur face à de tels actes.