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Leire Díez, l'Ariete Socialiste contre "les Subversifs" de la Guardia Civil qui faisait sourire Sánchez, Begoña Gómez et Patxi López

Publié le : 28 mai 2025

Introduction

Les récentes révélations autour de Leire Díez Castro, ancienne responsable de Correos, soulèvent des questions cruciales sur ses liens avec le PSOE. Des enregistrements la montrent demandant des informations compromettantes concernant un chef de l'UCO. Cela remet en cause la version officielle du parti, qui la décrit comme une simple militante.

Les liens avec le PSOE

Les photos de Díez Castro aux côtés de figures clés du PSOE, comme Pedro Sánchez et Patxi López, montrent un lien plus profond que celui d'une simple militante. Même si le parti tente de minimiser son rôle, la proximité qu'elle affiche avec des membres influents laisse planer des doutes sur cette narrative.

Sa présence lors de divers événements politiques et ses interactions avec des membres de la direction du parti indiquent qu'elle joue un rôle actif. Cela va au-delà de la simple affiliation, impliquant des responsabilités dans des communications stratégiques.

Un parcours politique marqué

Leire Díez Castro a un parcours politique clairement aligné avec Sánchez. Elle a participé à des campagnes électorales, notamment en 2011, et a occupé des postes de communication dans des entreprises publiques. Son engagement en faveur de Sánchez est évident dans ses critiques ouvertes envers des adversaires tels que Susana Díaz.

Ses déclarations sur les réseaux sociaux montrent une volonté de défendre le président actuel contre ses rivaux. Cela souligne son rôle actif dans la dynamique interne du PSOE, où elle s'oppose à toute forme de dissension.

Les accusations de guerre sale

Díez Castro semble avoir mené une campagne contre des membres de l'UCO, cherchant à discréditer ceux qui enquêtent sur des affaires sensibles. Ses tentatives pour obtenir des informations contre des juges et des policiers révèlent une stratégie plus large visant à protéger le PSOE et ses membres.

Elle a ciblé des figures clés, comme Antonio Balas, qui dirige les enquêtes sur des affaires de corruption. Cette approche soulève des questions éthiques sur l'utilisation de son influence et de ses ressources pour des fins personnelles et politiques.

La défense du PSOE

En réponse aux accusations, le PSOE affirme que Díez Castro ne représente pas le parti. Cependant, ses interactions avec la direction et son soutien inébranlable à Sánchez suggèrent un rôle plus complexe. Elle évoque souvent "les de haut" en parlant des dirigeants, renforçant l'idée qu'elle est bien plus qu'une simple militante.

Les déclarations de Santos Cerdán, secrétaire d'organisation, confirment qu'elle est considérée comme une membre influente au sein du parti. Cela remet en question la position officielle du PSOE sur son rôle et ses intentions.

Conclusion

Les révélations concernant Leire Díez Castro et ses interactions avec le PSOE soulèvent de nombreuses interrogations. Bien que le parti tente de minimiser son influence, les preuves suggèrent qu'elle occupe une position significative. Cela met en lumière les complexités des dynamiques internes du PSOE et les implications de ses actions.

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