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La 'fontanera' du PSoe a également contacté les partenaires du gouvernement pour demander de l'aide : "Soit nous nettoyons tout cette législature, soit nous demandons l'asile à Taïwan"

Publié le : 1 juin 2025

Introduction

Leire Díez, membre du PSOE, a récemment partagé un message troublant. En octobre, elle a évoqué la possibilité de "nettoyer" tout au sein de la législature ou de demander l'asile à Taïwan. Cette communication révèle des intentions inquiétantes concernant des actions contre des figures de la Garde Civile et des procureurs.

Les communications secrètes

Des messages échangés via l'application Signal ont été découverts, montrant Díez en train de rassembler des informations sensibles. Elle a exprimé sa préoccupation quant à la réussite de sa stratégie clandestine pour "démanteler" la UCO et affaiblir la Fiscalité Anticorruption. Díez a identifié des cibles prioritaires, y compris des officiers de la Garde Civile.

Elle a constamment justifié ses actions en se présentant comme porte-parole de "ceux d'en haut". Díez a affirmé que son but était de promouvoir la régénération des institutions judiciaires. Dans ses messages, elle a même exprimé son désir de ne pas léguer un "pays pourri" aux générations futures.

Les manigances contre les procureurs

Au cours de ses efforts, Díez a tenté de discréditer le procureur José Grinda. Elle a partagé des informations sur un site web diffamatoire à son encontre, se plaignant de son accès public bloqué en Espagne. Díez a soulevé des questions sur la liberté d'expression et la transparence, tout en critiquant les autorités judiciaires.

En réaction à son échec à nuire à Grinda, elle a encouragé ses contacts à passer à l'action. Elle a proposé de diffuser des informations compromettantes sur lui, affirmant qu'il était temps de "détoner" et de faire attention à la performance médiatique pour influencer l'opinion publique.

Les enjeux de corruption

Díez a manifesté un intérêt particulier pour l'affaire des Hydrocarbures, qui a conduit à l'incarcération de l'entrepreneur Víctor de Aldama. Cette affaire a mis en lumière un système de corruption institutionnalisée au sein du gouvernement de Pedro Sánchez. Elle a rencontré des acteurs clés pour obtenir des informations compromettantes.

Elle a insisté sur la nécessité de garder certaines informations secrètes pour éviter que des vérités gênantes ne soient révélées. Díez a également maintenu des relations avec des associés gouvernementaux, leur promettant de les aider en échange d'informations sensibles.

Les vœux de Noël troublants

Malgré ses manigances, Díez a pris le temps de souhaiter de bonnes fêtes à ses contacts. Elle a envoyé une carte de Noël avec une image d'un paysage montagnard enneigé. Dans son message, elle a évoqué le pouvoir des mots et des gestes, affirmant que "les mots guérissent" et que "les bras réconfortent".

Cette dualité dans son comportement souligne la complexité de sa situation. D'un côté, elle se présente comme une personne bienveillante, de l'autre, elle est impliquée dans des activités douteuses. Ce contraste illustre les tensions au sein du gouvernement et les défis auxquels il fait face.

Conclusion

Les révélations concernant Leire Díez mettent en lumière des pratiques inquiétantes au sein du PSOE. Ses communications montrent une volonté de manipuler le système judiciaire pour protéger ses intérêts. Ces événements soulèvent des questions sur l'intégrité des institutions et la transparence au sein du gouvernement.

asile - La 'fontanera' du PSoe a également contacté les partenaires du gouvernement pour demander de l'aide : "Soit nous nettoyons tout cette législature, soit nous demandons l'asile à Taïwan"