
Le voyage s'est transformé en cauchemar. Une violente attaque à l'arme blanche a blessé onze personnes, dont neuf gravement, dans un train reliant Doncaster à Londres. Dimanche, deux victimes avaient encore leur pronostic vital engagé. La situation a plongé des dizaines de passagers dans l'horreur.
Le train a quitté Doncaster à 18h25, direction Londres King’s Cross. Cette liaison, opérée par LNER, est populaire pour sa rapidité. Les passagers montent à bord, impatients de commencer leur voyage sans interruption jusqu'à Peterborough.
À 19h36, un passager se lève avec un grand couteau. Les autres restent figés, pensant à une blague d'Halloween. Ils réalisent rapidement que la situation est bien plus grave. L'assaillant commence à frapper, provoquant une panique générale dans le wagon.
À 19h42, la police des transports est alertée. Le conducteur reçoit l'instruction d'arrêter le train à Huntingdon, la station la plus proche. Pendant ce temps, l'assaillant continue son attaque, ce qui déclenche le code « Plato », un protocole en cas d'attaque terroriste.
Le train s'arrête à 19h50. Les forces de l'ordre montent dans la rame pour maîtriser le suspect. Selon des témoins, les policiers ont utilisé un taser pour neutraliser l'assaillant. Un autre homme a également été arrêté, mais son rôle reste flou.
Au total, onzième personnes ont été blessées, dont neuf grièvement. Les secours se sont rapidement organisés pour évacuer les victimes vers les hôpitaux. Heureusement, aucun décès n'a été signalé jusqu'à présent.
Vers 21h, la police antiterroriste est mobilisée pour enquêter. Les passagers non blessés sont redirigés vers des bus. Plus tard, le code « Plato » est levé, indiquant que la situation est sous contrôle et qu'aucune autre menace n'existe.
Cette attaque a profondément bouleversé le Royaume-Uni. Les événements tragiques survenus dans ce train rappellent l'importance de la vigilance et de la sécurité dans les transports publics. L'enquête se poursuit pour comprendre les motivations de l'assaillant.