Un attentat à la grenade a eu lieu dans un bar de la ville française de Grenoble, blessant douze personnes. L'incident s'est produit au bar Aksehir, peu après 20h00 heure locale, laissant deux victimes dans un état critique. Les autorités locales ont confirmé cette information.
Le motif de l'attaque reste flou, mais les enquêteurs pensent qu'il pourrait être lié à un règlement de comptes. Le procureur François Touret-de-Courcey a déclaré que des témoins affirment que le suspect, encore non identifié, pourrait avoir également été armé d'un fusil d'assaut Kalachnikov.
Selon les rapports, le suspect aurait brièvement pénétré dans le bar, qui était bondé à ce moment-là. Les autorités ont déployé environ 80 pompiers et policiers sur les lieux, et la zone est restée bouclée jusqu'au matin suivant.
La maire de Grenoble, Éric Piolle, a condamné cet acte, le qualifiant de « crime d'une violence extraordinaire ». Il a également remercié les forces de secours pour leur intervention rapide. La présence policière dans le quartier sera maintenue pour assurer la sécurité des habitants.
La vice-maire, Chloé Pantel, a souligné que le bar était un lieu de rassemblement pour les habitants et les visiteurs, notamment pour regarder des matchs de football. Cela montre l'impact de cet acte sur la communauté locale.
Les enquêteurs continuent d'explorer d'éventuels liens avec le trafic de drogue. Bien que l'incident soit d'une grande gravité, le procureur a précisé qu'il n'y a pas d'éléments indiquant un lien avec le terrorisme.
Les autorités restent mobilisées pour recueillir des informations et sécuriser la zone, afin de prévenir d'autres incidents. La situation est suivie de près par les médias et les responsables locaux.
Cette attaque à la grenade à Grenoble a choqué la communauté et soulève des questions sur la situation sécuritaire dans la région. Les autorités travaillent rapidement pour établir les faits et assurer la sécurité des citoyens. La vigilance est de mise alors que l'enquête se poursuit.