L'ancien Parisien Angel Di Maria, qui a marqué le premier but du match sur pénalty, a dû patienter avec ses coéquipiers plus de deux heures avant que le jeu ne reprenne. La météo capricieuse a encore une fois perturbé la Coupe du monde des clubs.
Pour la quatrième fois depuis le début de la compétition, un match a été arrêté en raison d'une alerte météorologique. À l'Inter&Co Stadium d'Orlando, Benfica menait à la pause (1-0, pénalty de Di Maria dans le temps additionnel) face à Auckland. Ce score ne reflète pas la domination portugaise sur le terrain.
Auckland City, déjà défait par le Bayern Munich (10-0) lors de leur premier match, a réussi à retarder un éventuel déluge de buts. Les équipes ont dû rester à l'abri pendant les intempéries, tandis que les supporters ont été invités à quitter les tribunes.
Après une attente de plus de deux heures, l'arbitre et les 22 joueurs sont finalement revenus sur le terrain. Ils ont effectué un échauffement d'une quinzaine de minutes avant de reprendre les 45 dernières minutes à 21h20, heure française, au lieu de 19 heures.
Cette situation a mis en évidence les défis auxquels les équipes doivent faire face lors de cet événement international. La patience des joueurs et des supporters a été mise à l'épreuve.
Les interruptions dues à la météo peuvent avoir un impact significatif sur la performance des équipes. Les joueurs doivent rester concentrés et maintenir leur niveau de performance malgré ces interruptions. Cela nécessite une grande préparation mentale.
Les équipes comme Benfica, qui dominent sur le terrain, doivent également gérer ces situations imprévues. La résilience devient alors un facteur clé pour réussir dans ce tournoi.
En somme, la Coupe du monde des clubs continue d'être marquée par des défis imprévus, notamment en raison de la météo. Les joueurs, comme Angel Di Maria, doivent faire preuve de patience et de détermination pour surmonter ces obstacles. Cette compétition reste un véritable test de caractère pour toutes les équipes impliquées.