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Le revirement sur le bien-être nous place dans une "meilleure position", affirme Streeting

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bien-être - Le revirement sur le bien-être nous place dans une "meilleure position", affirme Streeting

Introduction

Wes Streeting, le secrétaire à la santé, a affirmé que le gouvernement est dans une meilleure position pour passer des réformes sur le bien-être. Il a reconnu que la direction du Parti travailliste a mal géré le déploiement de son projet de loi phare. Cette situation a suscité des débats sur la durabilité des coûts liés au bien-être.

Concessions majeures du gouvernement

Streeting a mentionné que les députés travaillistes avaient exprimé des préoccupations substantielles concernant les coupes prévues dans le bien-être. En conséquence, le gouvernement a renforcé ses propositions. La semaine dernière, le Premier ministre a dû effectuer un U-turn spectaculaire pour éviter une défaite au Parlement.

Plus de 120 députés travaillistes menaçaient de rejeter ses plans. Streeting a déclaré à la BBC que le gouvernement doit apprendre de cette situation, soulignant que l'approche avait changé suite aux critiques sur l'impact des coupes sur les personnes handicapées.

Réactions des députés travaillistes

La rébellion croissante des députés travaillistes a conduit à des concessions importantes. Ces changements visaient à limiter les coupes du paiement d'indépendance personnelle (PIP) aux nouveaux demandeurs uniquement. De plus, le gouvernement a annulé ses plans de gel du composant santé du crédit universel, qui augmentera désormais en fonction de l'inflation.

Louise Haigh, une députée rebelle, a exprimé son soutien au projet de loi après les changements. Elle a déclaré que ses collègues sont ravies des concessions faites par le gouvernement, ce qui a permis d’éviter un blocage lors du vote prévu.

Conséquences pour le Premier ministre

Cette situation a soulevé des questions sur la stratégie politique du Premier ministre et sa capacité à gérer les dissentions internes. Sir Keir Starmer a défendu sa gestion de la crise, expliquant qu'il était à l'étranger lors d'une conférence de l'OTAN pendant la rébellion.

Helen Whately, la secrétaire d'État à l'emploi et aux pensions, a critiqué le Parti travailliste pour avoir retardé ou annulé les plans conservateurs. Elle a souligné que la situation actuelle est pire qu'à l'arrivée au pouvoir des travaillistes.

Réformes nécessaires pour l'avenir

Streeting a défendu l'intention du gouvernement, affirmant que les réformes sont nécessaires pour assurer la soutenabilité à long terme du système de bien-être. Il a averti que maintenir le statu quo ne serait pas bénéfique pour personne à l'avenir.

Il a également indiqué qu'il n'excluait pas d'autres changements au bien-être après la révision menée par Sir Stephen Timms. Streeting a insisté sur l'importance d'écouter les préoccupations des citoyens concernant les paiements d'indépendance personnelle.

Conclusion

En conclusion, la situation actuelle autour des réformes du bien-être met en lumière les défis auxquels le gouvernement est confronté. Les concessions faites aux députés travaillistes pourraient permettre d'avancer, mais des questions subsistent quant à la gestion future du système de bien-être. Les prochains mois seront cruciaux pour déterminer la direction que prendra le gouvernement.

Publié le : 29 juin 2025
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