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El Pp dénonce l'« irresponsabilité criminelle » du gouvernement face à l'échec des bracelets anti-maltraitance : « ils laissent les femmes seules face à leurs agresseurs »

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bracelets - El Pp dénonce l'« irresponsabilité criminelle » du gouvernement face à l'échec des bracelets anti-maltraitance : « ils laissent les femmes seules face à leurs agresseurs »

Le Parti Populaire et la Sécurité des Victimes

Le Parti Populaire s'implique profondément dans la controverse concernant les graves défauts du système de sécurité censé protéger les victimes de maltraitance. Ce système devait soutenir les femmes disposant d’ordres de protection, mais il a échoué. Le PP accuse le Gouvernement d'« irresponsabilité criminelle » pour avoir « laissé seules les femmes face à leurs agresseurs ».

Demandes de Démission

Selon la porte-parole du PP au Sénat, Alicia García, le parti exige la démission immédiate de la ministre de l'Égalité, Ana Redondo. García critique l'exécutif de Pedro Sánchez, l'accusant de « mensonge et hypocrisie ». Elle souligne que ce gouvernement, qui se vantait d'être « le plus féministe de l'histoire », s'est finalement révélé être « le plus machiste et le plus nuisible pour les femmes ».

Les accusations du PP s'appuient sur des éléments concrets. Ils rappellent que le président du Gouvernement a « caché avoir bénéficié de la prostitution », en référence aux affaires de son défunt beau-père. De plus, ils évoquent la loi du « oui est oui », qui a permis la libération de violateurs et pédophiles en raison de ses effets dévastateurs.

Défaillances du Système de Protection

García a exprimé des regrets concernant la gestion du système de protection, qui a « cessé de fonctionner », laissant les femmes vulnérables. Elle met en avant le fait que le système, basé principalement sur des bracelets de protection, a perdu l'accès aux données de localisation, ce qui a causé un « dommage irréparable » aux victimes.

Cette défaillance a également conduit à des « procès sans preuves », où les affaires des femmes ont été classées sans suite, entraînant une revictimisation. Les « non-lieux et acquittements » des agresseurs ont également contribué à leur impunité, les rendant ainsi dangereux pour toutes les femmes.

Reconnaissance des Défaillances

La Fiscalité Générale de l'État a reconnu dans son rapport annuel que ces défauts ont entraîné une « protection potentiellement insuffisante des victimes ». Elle a confirmé une « grande quantité de non-lieux ou de jugements d'acquittement » dans les tribunaux spécialisés en violence à l'égard des femmes.

Le PP blâme ouvertement le Gouvernement pour ces échecs. Ils soutiennent que l'exécutif « était au courant » des problèmes et a ignoré les avertissements. Il y a 20 mois, le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire avait déjà alerté le Gouvernement, mais la ministre de l'Égalité a choisi de ne pas agir.

Appel à la Responsabilité

Les membres du PP dénoncent cette négligence, qu'ils qualifient non pas d'incompétence, mais d'« irresponsabilité criminelle ». Ils exigent la démission immédiate d'Ana Redondo pour avoir « ignoré » et « gardé le silence » face à ces défaillances. Ils affirment qu'elle a « joué avec la vie des femmes maltraitées », ce qui est inacceptable.

Cette situation souligne l'urgence d'une réforme pour protéger efficacement les victimes de maltraitance. Les femmes doivent pouvoir compter sur un système fiable qui les défende contre leurs agresseurs.

Conclusion

En conclusion, la polémique autour du système de sécurité pour les victimes de maltraitance met en lumière des failles graves. Le Parti Populaire appelle à une prise de responsabilité claire de la part du Gouvernement. Il est crucial que des mesures soient mises en place pour garantir la sécurité des femmes et éviter que de telles tragédies ne se reproduisent.

Publié le : 18 septembre 2025
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