Une proposition d'un pair travailliste visant à introduire des chats pour contrôler les rongeurs dans les bâtiments du Parlement a été rejetée. Larry, le chat qui réside à 10 Downing Street depuis 2011, ne sera donc pas rejoint par d'autres félins pour lutter contre les nuisibles au Palais de Westminster.
Le Lord Gardiner de Kimble, député senior, a expliqué que les conseils donnés aux autorités parlementaires indiquaient que les chats feraient face à divers risques. Ces risques incluent les activités de construction, les portes à fermeture automatique et l'absence d'arrangements pour leur soin.
Les rongeurs sont un problème récurrent dans ce bâtiment classé, avec des milliers de livres dépensés chaque année pour le contrôle des nuisibles. Lord Berkeley a posé une question écrite concernant l'utilisation des chats pour le contrôle des nuisibles sur le domaine parlementaire.
En réponse, Lord Gardiner a précisé que la décision de ne pas introduire de chats reposait sur plusieurs facteurs. Premièrement, il y a trop d'activités de construction sur le site pour garantir un environnement sûr pour un chat errant. Deuxièmement, les portes à fermeture automatique pourraient piéger un chat sans sustenance pendant des périodes prolongées.
Enfin, il a souligné le manque d'arrangements quotidiens pour le soin des chats. Il a ajouté que le Parlement continuait de travailler avec son entrepreneur de contrôle des nuisibles pour mettre en place des régimes ciblés et efficaces.
Larry, un chat de sauvetage du Battersea Cats and Dogs Home, a été le mouser en chef pour plusieurs premiers ministres depuis son arrivée à 10 Downing Street. Après l'arrivée de Sir Keir Starmer, Larry a été rejoint par un autre chat nommé Jojo et un nouveau chaton sibérien.
Par ailleurs, le Foreign Office avait un autre mouser nommé Palmerston, qui a été actif jusqu'en 2020 avant de prendre sa retraite à la campagne. Récemment, il a été rappelé pour un poste diplomatique à l'étranger à Bermude en tant que "consultant en relations félines".
En résumé, l'idée d'introduire des chats pour contrôler les nuisibles au Parlement a été écartée pour des raisons de safety et de logistique. Les autorités continuent de collaborer avec des professionnels pour gérer le problème des rongeurs dans ce bâtiment emblématique.