
Le Club de Mar de Sitges a signalé deux tentatives d'occupation dans ses locaux. Ces incidents ont été marqués par des vitres brisées et divers dégâts. Cela s'est produit un jour après que le gouvernement ne soit pas venu prendre possession des lieux, comme l'avait autorisé le Tribunal Supérieur de Justice de Catalogne (TSJC).
Le système d'alarme a détecté des intrusions à 2h00 et à 8h15 du matin. Ces informations sont consignées dans la plainte déposée auprès des Mossos d'Esquadra. Les membres du conseil d'administration de l'entité nautique ont expliqué que personne de la Demarcació de Costes en Catalogne ne s'est présenté pour exécuter l'ordonnance judiciaire.
Gemma Marcé, la présidente, a exprimé son indignation et son impuissance face à cette situation. Elle a déclaré que le Club de Mar de Sitges est plus qu'un simple bâtiment; c'est un lieu chargé d'histoire, de convivialité et d'identité pour la communauté de Sitges.
Le litige a duré longtemps en raison de la vulnération de la Loi de Costas. Un jugement avait autorisé le ministère de la Transition Écologique à prendre les clés du local. Marcé a qualifié de paradoxe et de scandale qu'après avoir vidé l'intérieur, il faille encore surveiller les lieux pour éviter des occupations.
Le Club de Mar de Sitges, fondé en 1952, est un pilier de la culture maritime locale. Marcé a souligné l'importance de cet espace pour la communauté et son rôle central dans la vie sociale de Sitges. La situation actuelle soulève des questions sur la protection des lieux historiques.
Les événements récents au Club de Mar de Sitges illustrent un défi pour la communauté et les autorités. La présidente et les membres du club espèrent que des mesures seront prises pour protéger cet espace vital. Ils souhaitent que l'histoire de ce lieu, cher à tant de personnes, puisse continuer à s'épanouir sans incidents.