Le truhan qui dirige toutes les Espagnes a fait une déclaration claire le 7 septembre 2024 lors d'une réunion du Comité Fédéral. Il a affirmé qu'il pensait que, « avec ou sans le soutien de l'opposition », il devait abandonner son attitude destructive. Cette phrase résume bien son approche vis-à-vis des autres pouvoirs de l'État.
Ce personnage a défini son rapport à l'opposition avec une phrase célèbre : « Non est non. Quelle partie du non n'ont-ils pas compris ? » Cette déclaration révèle sa vision restrictive et destructive envers ceux qui ne soutiennent pas ses propositions. Pour lui, l'opposition devient destructrice si elle ne souscrit pas à ses conditions.
Il est évident que pour lui, le législatif doit être constructif, mais uniquement s'il approuve toutes les mesures proposées par le gouvernement. Ainsi, toute critique ou amendement est perçu comme une entrave à son autorité.
Lors de cette réunion, il n'a pas mentionné le Pouvoir Judiciaire, pourtant essentiel dans le système démocratique. Cependant, il a attaqué le juge Juan Carlos Peinado cinq semaines plus tôt pour prévarication, illustrant son mépris pour l'indépendance judiciaire.
Le Tribunal Supérieur de Justice de Madrid a rejeté sa demande, montrant que les tentatives de pression sur le pouvoir judiciaire ne passent pas inaperçues. Cette situation soulève des questions sur son respect des institutions.
Le gouvernement était censé présenter les Budgets Généraux pour 2025 au Congrès, conformément à la Constitution espagnole. Cependant, ce délai a été largement ignoré, et le gouvernement a prolongé les comptes de l'année précédente sans explication claire.
Lors d'une interview, il a semblé peu sûr de sa capacité à respecter les futures obligations budgétaires, ce qui alimente des doutes sur sa compétence à gérer les finances publiques.
En somme, l'Espagne se retrouve avec un truhan à la tête d'un gouvernement en difficulté. Les actions et les déclarations de Pedro Sánchez révèlent une volonté de contrôler tous les aspects du pouvoir, au détriment de la démocratie. Ce climat politique incertain soulève des inquiétudes pour l'avenir du pays.