La France et neuf autres pays vont reconnaître la Palestine ce lundi à New York, lors de la 80e Assemblée générale de l’ONU. Cette initiative soulève des questions sur le calendrier choisi. En effet, le moment semble particulièrement délicat.
Reconnaître la Palestine n'est plus un sujet de débat. Qui pourrait s'opposer au droit légitime des Gazaouis à vivre dignement ? Il est inacceptable que des enfants grandissent en évitant les bombes sur leur chemin vers l'école ou qu'ils doivent quémander de l'aide alimentaire.
Le Hamas détourne cette aide pour construire des tunnels au lieu de nourrir la population. Cette situation tragique soulève des interrogations sur les priorités de ceux qui détiennent le pouvoir dans la région.
La question n'est pas seulement la reconnaissance, mais le calendrier choisi. Les réactions des bourreaux d'Israël sont à craindre. Les terroristes considèrent la démarche d'Emmanuel Macron comme une étape positive, savourant cette victoire symbolique.
Ceux qui ont perpétré des actes de violence depuis des décennies se réjouissent de cette situation. Ils continuent de retenir de rares otages, leur demandant de creuser leur propre tombe, ce qui est profondément troublant.
Les mêmes individus qui se réjouissent de cette reconnaissance sont ceux qui ont commis le pogrom le plus acharné depuis l’Holocauste. Leur attitude face à la souffrance humaine soulève des questions morales.
Cette victoire symbolique pour certains pourrait avoir des conséquences désastreuses pour d'autres. La reconnaissance de la Palestine doit être considérée avec prudence et réflexion.
En somme, la reconnaissance de la Palestine par la France et d'autres pays est un acte qui doit être analysé avec soin. Le calendrier et les réactions qui l'accompagnent sont tout aussi importants que l'acte lui-même. Il est essentiel de garder à l'esprit les implications de cette décision dans un contexte aussi complexe.