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La corruption inonde le plein du Congrès : de la "pourriture" du PP aux "voleurs de poules" du PSOE

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Introduction

Le dernier plénum du Congrès a été marqué par des affaires de corruption qui empoisonnent la politique espagnole. Des cas comme Montoro et le scandale Abalos-Cerdán-Koldo dominent les débats. Ces affaires cachent le contenu des discussions et influencent les votations.

Les affaires de corruption

Le cas Montoro, récemment révélé, affecte le Parti Populaire (PP), qui a déjà été sous pression à cause des affaires de ses membres. Le PSOE, auparavant ciblé, se retrouve maintenant confronté à des accusations similaires. Les tensions entre ces partis se sont intensifiées, chacun cherchant à se distancier des accusations qui les entourent.

Le partenaire minoritaire du gouvernement, Sumar, a ouvert la bataille pour déterminer qui est le plus corrompu. Ils considèrent ces affaires comme une "héritage du franquisme", toujours présent dans le bipartisme. Selon Sumar, il y a une distinction à faire entre les cas qui touchent le PSOE et ceux qui concernent le PP.

Réactions au sein du Congrès

Les représentants de Sumar ont exprimé des différences claires lors de leurs interventions. Carlos Martín a déclaré : "Il n'y a pas photo", en parlant de la corruption. Il a comparé les affaires de Koldo-Abalos-Cerdán à la "corruption premium" du cas Montoro. Cette distinction vise à mettre en lumière les inégalités dans la gravité des accusations.

Les accusations du PP envers le gouvernement ont été rapides. Ils ont dénoncé un manque de gouvernance et ont critiqué la manière dont le Congrès est manipulé. Ángel Ibáñez a qualifié cette situation de "politique sale", soulignant que les mesures adoptées sont souvent soumises à des chantages.

Les échanges entre partis

Les échanges entre le PP et le PSOE sont devenus très tendus. Le PP a accusé le PSOE de s'attaquer à des affaires anciennes tout en ignorant d'autres problèmes plus récents. Ils ont évoqué des prostitutions et des malversations qui ont eu lieu sous le mandat de certains membres de l'opposition.

De plus, le PP a rappelé que les plus grands coupures budgétaires ont été réalisées sous le gouvernement de Zapatero. Ils insistent sur le fait que le "sanchisme" est un fraude au service de la corruption, accusant le gouvernement de négligence face aux problèmes économiques.

Conclusions sur la situation politique

Les accusations de corruption ont été omniprésentes, même dans les discussions informelles. Gabriel Rufián, député d'ERC, a qualifié Montoro de "capo". Cette dynamique révèle une disparité dans la manière dont chaque parti aborde les accusations qui les concernent.

Le PP se défend en affirmant qu'ils laissent la justice agir sans interférences. En revanche, ils accusent Sánchez de vouloir rester au pouvoir uniquement pour se protéger de la corruption. Cette situation complexe met en lumière les enjeux politiques actuels en Espagne.

Publié le : 22 juillet 2025
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