Avec la fin potentielle des zones à faibles émissions (ZFE), la popularité des véhicules diesels pourrait connaître un nouvel essor. Ces véhicules, bien que souvent critiqués, continuent de séduire de nombreux automobilistes. Malgré les avancées en matière de technologies hybrides et électriques, les diesels n'ont pas dit leur dernier mot.
Au cours des cinq premiers mois de 2025, le marché des véhicules neufs a enregistré l'immatriculation de 31 752 véhicules diesels, représentant ainsi 4,7 % de part de marché. Ce chiffre témoigne de la résilience des diesels face à l'essence. Les acheteurs semblent toujours attirés par ce type de motorisation, malgré les pressions pour passer à des alternatives plus vertes.
Dans les concessions, les véhicules diesels continuent de se cramponner à leur place. Par exemple, chez Stellantis, plusieurs modèles emblématiques comme la Citroën C5 Aircross, les DS4 et DS7, ainsi que la Fiat Tipo et les Alfa Romeo Tonale, Giulia et Stelvio, proposent toutes des versions diesel. Cela démontre que les constructeurs croient encore en l'avenir des moteurs thermiques.
Les véhicules diesels représentent une catégorie d'irréductibles qui résiste encore et toujours aux changements du marché. Malgré la montée des technologies écologiques, ils continuent d'attirer une clientèle fidèle. Les avantages en termes de consommation et de longévité jouent un rôle clé dans cette situation.
En conclusion, la fin possible des zones à faibles émissions pourrait redonner un coup de fouet à la popularité des véhicules diesels. Bien que les moteurs hybrides et électriques soient en plein essor, les diesels continuent d'occuper une place importante sur le marché. Leur résilience face aux défis actuels témoigne de leur attrait durable auprès des consommateurs.