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Le directeur du Parador de Teruel nie la "fiesta" d'Ábalos et attribue à la "haute direction" le dossier ouvert contre les employés ayant dénoncé

Publié le : 19 mai 2025

Déclarations du Directeur du Parador de Teruel

Le directeur du Parador de Teruel, Joaquín Gutiérrez, a fermement nié qu'il y ait eu une fête, des dégâts ou une réunion lors de la visite de l'ancien ministre José Luis Ábalos le 15 septembre 2020. Il a qualifié les accusations des employés de « simples opinions » et, dans certains cas, de « témoignages induits ». Malgré ces allégations, Gutiérrez a mis en cause la responsable des ressources humaines pour l'ouverture d'un dossier concernant la confidentialité.

Gutiérrez a précisé qu'il avait personnellement accueilli le ministre Ábalos, qui était arrivé en voiture avec Koldo García. Ce dernier lui avait fait savoir que le ministre était fatigué et qu'il souhaitait commander son dîner dans sa chambre. Avant l'arrivée d'Ábalos, d'autres personnalités, comme le président de la Communauté, Javier Lambán, et la déléguée du gouvernement, Pilar Alegría, étaient également présentes.

Gestion de la Réservation

Pour la délégation du ministre, une réservation multiple avait été effectuée via l'agence d'El Corte Inglés, comprenant « huit chambres pour huit personnes ». La chambre du ministre était une suite, la 101, où jusqu'à six personnes pouvaient se réunir. Gutiérrez a souligné que chaque chambre était limitée au nombre de personnes pour lesquelles elle était conçue, garantissant ainsi des normes de sécurité.

Il a également mentionné qu'il avait discuté avec les employés à l'origine de la dénonciation. Sur les trois, deux n'étaient pas présents ce jour-là, et le troisième a admis avoir répondu sans réfléchir. Malgré cela, aucun des trois n'a publiquement retiré ses déclarations.

Conséquences et Réactions

Le dossier ouvert à l'encontre des employés, en raison d'un manque de confidentialité, a été créé par la responsable des ressources humaines. Cette communication incluait même des avertissements concernant d'éventuelles sanctions, y compris le licenciement. Gutiérrez a insisté sur le fait que ces mesures étaient le résultat d'une directive de la direction supérieure de l'entreprise publique.

Concernant les informations publiées par le Diario de Teruel sur des factures liées à des dégâts supposés, Gutiérrez a affirmé qu'« elles n'existent pas ». Malgré cela, il a choisi de ne pas demander d'explications ni de prendre des mesures, estimant que cela serait « une bataille perdue d'avance » contre un média. Une telle décision, a-t-il précisé, devrait être prise par la haute direction des Paradores.

Conclusion

Les déclarations de Joaquín Gutiérrez soulèvent des questions sur la transparence et la gestion des incidents au sein du Parador de Teruel. Alors que les accusations persistent, le directeur maintient que tout s'est déroulé normalement. Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les établissements publics face à des allégations de ce type.

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