L’union des commerçants de la ville tire la sonnette d'alarme concernant les dangers de l’e-commerce. Elle s’appuie sur l’intelligence artificielle pour illustrer ses préoccupations. La municipalité, quant à elle, encourage vivement à consommer local pour soutenir les commerces de proximité.
La représentation du centre-ville est dystopique. On y voit un espace grisâtre, éteint et impersonnel, où les commerces sont absents. Cette vision met en avant la domination du commerce en ligne. Les rideaux de fer sont baissés sur chaque boutique, témoignant d’une désertification commerciale inquiétante.
Des drones survolent les rues, transportant des cartons accrochés à leurs griffes. Pendant ce temps, des livreurs à scooter s'engagent dans des courses effrénées. Cette scène illustre un monde où l’humain est relégué au second plan, remplacé par une logistique automatisée.
Au milieu de ce décor désolant, un commerçant, au bord des larmes, est assis sur son pas-de-porte fermé. Son désespoir est palpable, reflétant la réalité de nombreux commerçants qui peinent à survivre face à la montée de l'e-commerce. La lutte pour maintenir leur activité devient de plus en plus difficile.
Dans ce contexte, une famille est réunie, mais chacun est absorbé par son écran. Ils ne se voient plus, illustrant la déconnexion sociale provoquée par la dépendance aux technologies. Ce phénomène souligne l’impact de l’e-commerce sur les relations humaines.
Le titre de cette représentation, « La vie ne se clique pas », résonne comme un appel à la réflexion. Il invite à reconsidérer nos choix de consommation. La nécessité de redonner vie aux commerces locaux est plus importante que jamais.
Face aux dangers de l’e-commerce, il est crucial de soutenir les commerçants locaux. La vision dystopique présentée nous rappelle l'importance des interactions humaines et de la vitalité des centres-villes. Consommer local, c'est choisir de préserver notre communauté.