Le public a été déçu lors de la 3e étape du Tour. L'absence d'initiatives, à part une échappée curieuse d'un coéquipier de Pogacar, a laissé les spectateurs sur leur faim. Cette étape a été caractérisée par un manque de combats et d'actions significatives sur le parcours.
Le jury du prix de la combativité a pris une décision inédite. Pour cette étape, aucun prix n'a été décerné, car "aucun coureur ne s’est distingué". Cela fait écho à une situation rare, similaire à l’étape raccourcie par la grêle en 2019. Ce constat souligne le manque de dynamisme dans la course.
Tim Merlier (Soudal-Quick Step) a remporté l’étape à Dunkerque. Il l’a fait avec une avance de demi-jante sur l'Italien Jonathan Milan (Lidl-Trek). Ce sprint a été marqué par une chute, ajoutant une touche d'incertitude à la finale. Malgré cela, la victoire de Merlier reste le seul moment fort de cette étape.
Le maillot vert, Jasper Philipsen (Alpecin-Deceuninck), a également connu un sort tragique. Lors du sprint intermédiaire, il a lourdement chuté, ce qui l’a contraint à abandonner. Cette chute a non seulement affecté Philipsen, mais a également eu un impact sur l'issue de l'étape.
Cette 3e étape du Tour de France a été marquée par un manque d'action et une absence de combattivité. La décision du jury de ne pas attribuer de prix de combativité reflète ce constat. Les coureurs, malgré quelques moments de tension, n'ont pas réussi à captiver le public. Une étape à oublier pour certains, mais qui reste une partie intégrante de la compétition.