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« Ils ont crié avant de mettre le feu » : l'école des surveillants de prison incendiée, 1 000 élèves évacués

Publié le : 14 avril 2025

Incendie au parking de l'EFAP

Dans la nuit de dimanche à lundi, un incendie a ravagé le parking de l'EFAP, entraînant l'évacuation de plus de 1000 élèves. Cet événement tragique est qualifié de première par le syndicat FO Justice, qui a exprimé son inquiétude sur les réseaux sociaux.

Détails de l'incendie

Vers 23h30, des individus ont mis le feu à sept véhicules garés sur le parking de ce centre de formation des gardiens de prison à Agen. Le syndicat FO Justice a décrit cet acte comme étant d’une extrême gravité, diffusant des images du sinistre.

Les pompiers du Sdis 47 ont confirmé que les élèves ont pu regagner leur établissement en toute sécurité après l'incident. Grâce à leur réactivité, aucun blessé n'est à déplorer, ce qui est un soulagement pour tous.

Réaction des syndicats

Le syndicat Ufap/Unsa Justice a également réagi, précisant que cet acte criminel a nécessité l'évacuation de plus de 1000 élèves. Ils ont souligné la préoccupation concernant la sécurité des nouvelles recrues, dont sept ont perdu leur moyen de transport.

FO Justice a dénoncé une escalade de violence inacceptable, soulignant que cet incident marque un nouveau cap dans la violence subie par le personnel pénitentiaire.

Impact sur les élèves et le personnel

Les élèves, bien que choqués, ont montré un sang-froid remarquable en évacuant rapidement les lieux. Ce comportement exemplaire a permis d'éviter des blessures, ce qui est une réussite dans une situation aussi alarmante.

La situation rappelle également la précarité dans laquelle se trouvent souvent les nouveaux agents pénitentiaires. La perte de leurs véhicules représente un défi supplémentaire pour ces jeunes professionnels.

Conclusion

En conclusion, cet incendie au parking de l'EFAP met en lumière des questions cruciales concernant la safety et la sécurité des élèves et du personnel. Les syndicats appellent à une réflexion sérieuse sur la violence croissante dans ce secteur, afin de protéger ceux qui y travaillent.

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