Voici l'état des quinielas à une semaine des élections à Cepyme : la victoire se joue dans une marge de 70 à 85 voix.
Introduction
Le votómetro patronal est en ébullition. À une semaine des élections à Cepyme, les prévisions montrent une division marquée. Les puissantes organisations sectorielles et provinciales se positionnent pour représenter les petites et moyennes entreprises, dans un contexte de tensions entre les partisans de Gerardo Cuerva et ceux d'Ángela de Miguel.
Les enjeux des élections
La victoire se jouera à un nombre réduit de voix. Les équipes des deux candidats effectuent des calculs basés sur les soutiens reçus, qu'ils soient officiels ou non. La grande incertitude réside dans le volume de votes délégués et ce que certains appellent le vote "désloyal".
Les 505 membres de l'Assemblée Électorale de Cepyme sont au cœur de cette bataille. Les 56 organisations territoriales détiennent 230 voix, avec des règles spécifiques pour chaque communauté autonome et province. Certaines organisations, comme CEIM et Foment del Treball, ont même plus de voix.
La répartition des votes
Le poids du vote territorial est essentiel, notamment pour des communautés comme Castille-et-León et Andalousie. Toutefois, la clé réside dans les organisations sectorielles. Ces dernières, souvent de petite taille, contrôlent les 275 votes restants.
La division au sein des organisations est encore plus marquée que ce qui est reconnu. Par exemple, en Castille-et-León, plusieurs patronales provinciales ont décidé de soutenir Cuerva, malgré le soutien public de leur organisation mère à De Miguel.
Pressions et prévisions
La situation est complexe, avec des pressions exercées sur les organisations par Garamendi. Les équipes de Cuerva estiment que certains soutiens promis pourraient finalement se retourner contre De Miguel. En parallèle, la candidature de De Miguel se dit confiante dans ses soutiens.
Les deux camps ont déjà établi leurs prévisions. Cuerva, avec des chiffres conservateurs, s'attend à une avance de 85 votes. En revanche, De Miguel revendique un total de 277 soutiens, avec des projections qui varient selon les sources.
Conclusion
En somme, la situation électorale au sein de Cepyme est marquée par des tensions internes et des incertitudes. Les deux candidats, Cuerva et De Miguel, ont des soutiens significatifs, mais la bataille finale reste à déterminer. Les résultats, attendus dans quelques jours, pourraient bien redéfinir l'avenir des petites et moyennes entreprises en Espagne.
