Les documents : Nouveaux e-mails explosifs d'Epstein et 'Streeting part en guerre contre le No 10'
Introduction
De nouvelles révélations concernant les courriels d'Epstein et des tensions au sein du parti travailliste font la une des journaux. Les informations suggèrent que Donald Trump était au courant des agissements de Jeffrey Epstein, un délinquant sexuel décédé. Cela soulève des questions sur la relation entre les deux hommes.
Les courriels d'Epstein
Les courriels récemment publiés indiquent que Trump "savait pour les filles", selon le Guardian. Ce message fait partie d'une série de trois échanges qui insinuent que le président des États-Unis était informé des activités d'Epstein. Trump a toujours démenti toute implication dans ces affaires.
Le Financial Times rapporte que Trump aurait "passé des heures" chez Epstein avec une femme qui a ensuite été identifiée comme une victime de la traite humaine. Un démocrate de haut rang a déclaré que ces messages soulèvent des questions sur ce que la Maison Blanche pourrait cacher.
Réactions de la Maison Blanche
La Maison Blanche a défendu Trump, accusant les démocrates de fuites sélectives pour créer une fausse narration. Le Daily Mirror reprend cette accusation en mentionnant Virginia Giuffre, l'une des femmes impliquées dans les nouveaux courriels.
Un cliché célèbre de Trump et de sa femme Melania avec Epstein et Ghislaine Maxwell a également été publié, renforçant les soupçons. Epstein a écrit à Maxwell : "Je veux que tu réalises que le chien qui n'a pas aboyé, c'est Trump."
Tensions au sein du parti travailliste
Le Daily Telegraph se concentre sur les murmures d'un défi à la direction contre Sir Keir Starmer. Le titre "Streeting va à la guerre avec No 10" évoque les accusations portées contre le secrétaire à la santé.
Streeting a nié ces accusations, qualifiant Downing Street de "toxique". Le Metro rapporte sa colère face à ces insinuations, illustrant la tension croissante au sein du parti.
Demandes de démission
Dans un autre développement, le Times indique que des ministres du cabinet exigent le licenciement du chef de cabinet du Premier ministre. Des allégations suggèrent qu'il avait connaissance des briefings accusant Streeting de complot. Morgan McSweeney, l'assistant principal de Sir Keir, a nié ces accusations.
Le i Paper décrit la situation à Downing Street comme étant en tumulte, avec des ministres exprimant leur colère contre McSweeney. Le climat de paranoïa autour des complots travaillistes est palpable.
Conclusion
En somme, les révélations autour des courriels d'Epstein et les tensions au sein du parti travailliste illustrent un climat politique tendu. Les accusations et les défenses se multiplient, laissant présager des développements futurs dans ces affaires. La politique britannique continue d'être marquée par des conflits internes et des scandales.
