Le terrible attaque de la Russie sur Sumi, survenue pendant le Dimanche de Ramos, a causé la mort de plus de 30 civils, dont plusieurs enfants. Cet événement a suscité une condamnation mondiale presque unanime, alors que des négociations pour un cessez-le-feu étaient en cours, que Moscou rejette pour l’instant.
Le président ukrainien, Volodimir Zelenski, a appelé à une réaction forte de la part du monde. Dans le domaine des condamnations, il a obtenu une réponse immédiate. Les États-Unis, l'OTAN, la Commission européenne et presque tous les États européens ont dénoncé l'attaque avec des mots forts.
Le président français, Emmanuel Macron, a exigé des mesures fortes pour imposer un cessez-le-feu à la Russie. La posture des États-Unis a été particulièrement significative, marquant un tournant dans leur approche jusqu’alors plus compréhensive envers Moscou.
Keith Kellogg, l'envoyé américain en Ukraine, a déclaré que l'attaque "excéde les limites de la décence". Il a souligné que l’attaque des forces russes contre des cibles civiles à Sumi était inacceptable. En tant qu'ancien militaire, il a souligné la nécessité d'attaques sélectives.
L’OTAN a également exprimé son chagrin face aux horribles bombardements de la Russie. La porte-parole de l'OTAN a évoqué des scènes terrifiantes à Sumi, où des missiles balistiques ont tué de nombreuses personnes.
Les leaders européens, notamment Emmanuel Macron et Keir Starmer, se sont mobilisés pour un cessez-le-feu. Le Premier ministre britannique a exprimé son horreur face aux attaques de la Russie contre des civils, offrant ses condoléances aux victimes.
Starmer a rappelé que cet ultime attaque mortelle était un rappel cruel du sang versé par le président russe, Vladimir Poutine. Il a souligné que le président ukrainien avait montré son engagement envers la paix.
Macron a particulièrement insisté sur la nécessité de mesures fortes contre Poutine, affirmant que la guerre avait été initiée uniquement par la Russie. Il a ajouté que la Russie choisissait de continuer cette guerre avec un flagrant mépris pour la vie humaine.
La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a également condamné le bombardement russe, le qualifiant de courageux. Elle a noté que cet acte survenait un jour saint, entraînant des pertes civiles innocentes, y compris des enfants.
La Commission européenne a condamné l'attaque, sa présidente, Ursula von der Leyen, dénonçant la cruauté du bombardement. Elle a souligné que cette guerre perdure parce que la Russie le décide, qualifiant l’attaque de Sumi de barbare.
Elle a ajouté que cet acte était d'autant plus vil que les gens se rassemblaient pacifiquement pour célébrer le Dimanche de Ramos. L'ensemble de l'Europe, indépendamment des couleurs politiques, a condamné la Russie avec fermeté.
En somme, l'attaque de Sumi a provoqué une onde de choc à travers le monde, entraînant des réactions fermes des dirigeants internationaux. Les appels à un cessez-le-feu se multiplient, tandis que la communauté mondiale exprime son soutien au peuple ukrainien face à cette tragédie.