Femme tuée dans une attaque à la hache à l'Université de Varsovie
Attaque au hachoir à l'université de Varsovie
Une femme a été tuée et un homme a été gravement blessé lors d'une attaque au hachoir à l'université de Varsovie mercredi, selon la police polonaise. Un homme polonais de 22 ans a été arrêté en lien avec cette attaque, que l'université a qualifiée de "tragédie énorme".
Détails de l'incident
Les deux victimes travaillaient à l'université. Dans un communiqué, l'université a précisé que la femme décédée était membre du personnel, tandis que l'homme blessé travaillait dans la sécurité. À ce jour, le mobile de l'attaque reste inconnu.
La police a indiqué que l'attaquant est entré sur le campus universitaire à 18h40, heure locale. Ensuite, il a pénétré dans un auditorium de l'établissement, selon un porte-parole du procureur de district. Peu de détails ont émergé sur les événements qui ont suivi.
Réactions de l'université
Le recteur de l'université a exprimé sa grande tristesse et sa sympathie envers la famille et les proches des victimes. Il a annoncé que le 8 mai serait un jour de deuil pour l'institution. Cette déclaration souligne l'impact de cette tragédie sur la communauté universitaire.
Un autre média polonais, Gazeta Wyborcza, a rapporté que l'attaquant était un étudiant en troisième année de droit. Après l'attaque, des journalistes de Reuters ont observé l'auditorium cordoné par la police, tandis que des fourgons de police se rassemblaient autour de la scène.
Conséquences et mesures
Le recteur a réitéré l'importance de la sécurité sur le campus, appelant à des mesures pour prévenir de tels incidents à l'avenir. La communauté universitaire se retrouve en état de choc face à cette violence inédite.
Les autorités continuent d'enquêter sur les circonstances de l'attaque, cherchant à comprendre les motivations derrière cet acte tragique. La sécurité des étudiants et du personnel est désormais une priorité absolue.
Conclusion
Cette tragédie à l'université de Varsovie rappelle la nécessité d'une vigilance accrue et d'un soutien communautaire en période de crise. Les pensées vont aux victimes et à leurs familles, alors que l'université se prépare à un deuil collectif et à une réflexion sur la sécurité sur le campus.
