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Le Juge Suprême Qui Enquête Sur García Ortiz Place La Fiscalité Au Bord D'une Amende Pour "Mauvaise Foi Processuelle" Dans Son Engagement À Le Défendre

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Fiscalité - Le Juge Suprême Qui Enquête Sur García Ortiz Place La Fiscalité Au Bord D'une Amende Pour "Mauvaise Foi Processuelle" Dans Son Engagement À Le Défendre

Rejet de la demande de la Fiscalité

Le magistrat du Tribunal Suprême a rejeté la demande infondée de la Fiscalité concernant de nouvelles diligences avant de décider d'un procès contre Álvaro García Ortiz. Cette décision place la Fiscalité au bord du fraude procesal. L'instructeur Ángel Hurtado souligne que la demande de la représentation procesale de l'APIF évoque un fraude de loi.

Malgré cela, le magistrat ne sanctionne pas la Fiscalité pour mauvaise foi, tenant compte de la position institutionnelle du Ministère Public. L'association des procureurs a soutenu que cette démarche visait à dilater le processus et a demandé une amende à titre personnel contre la teniente fiscal du Suprême, Ángeles Sánchez Conde.

Diligences complémentaires et leur légitimité

Le juge a expliqué que les diligences complémentaires après la clôture de la phase d'investigation sont exceptionnelles. Elles ne sont autorisées que lorsque la Fiscalité manifeste son impossibilité d'accuser. Dans ce cas, le Ministère Public ne joue pas le rôle d'accusation, ce qui est évident à travers sa demande de surseoir à la procédure.

Il a également rejeté la demande de la Fiscalité de suspendre le délai de 10 jours accordé aux parties pour demander l'ouverture du procès. La Fiscalité avait demandé la déclaration de deux journalistes comme témoins, ainsi que la divulgation de messages internes du canal de télévision concerné.

Limitations de la demande de la Fiscalité

Le magistrat rappelle que la Loi de Procédure Pénale permet au fiscal de demander des diligences complémentaires uniquement s'il manifeste son impossibilité de formuler un écrit d'accusation. Dans cette affaire, le Ministère Public cherche à obtenir un surseoir, ce qui ne justifie pas sa demande.

Cette situation amène l'instructeur à considérer la demande d'amende de l'association des procureurs comme compréhensible. Cette association accuse García Ortiz d'avoir révélé des secrets, ce qui soulève des questions sur la légitimité des nouvelles diligences demandées.

Implications des déclarations de journalistes

Le magistrat a noté que les nouvelles déclarations de journalistes ne sont pas indispensables pour la phase actuelle du procès. Les informations évoquées ont déjà été prises en compte et rejetées. Si ces déclarations visent à défendre une thèse selon laquelle les faits n'ont pas de pertinence pénale, cette thèse a déjà été raisonnablement écartée.

La défense et la Fiscalité soutiennent que plusieurs journalistes étaient au courant des informations avant que le fiscal n'y ait accès. Cependant, le juge a conclu que leurs actions ne peuvent pas exonérer le fiscal général des accusations portées contre lui.

Conclusion

En résumé, la décision du magistrat met en lumière les limites des demandes de la Fiscalité et souligne l'importance de respecter les procédures légales. La situation actuelle pourrait avoir des implications significatives pour la suite de l'affaire contre Álvaro García Ortiz.

Publié le : 17 juin 2025
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