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La Marche de la Folie n'est pas Insensée

Publié le : 4 mai 2025

Introduction

Le 29 juillet 2021, j'ai publié un article intitulé Gouvernement dans l'ombre, abordant les mécanismes de promotion interne établis par Sánchez. Son plan visait à créer un parti parallèle basé sur la méfiance et la prédation. Cela a suscité une réaction de Diego Rubio, son chef de cabinet, qui a tweeté un message courtois mais sarcastique.

Les réactions de Diego Rubio

En hommage à son parcours, Rubio a inclus dans son tweet plusieurs erreurs et faux arguments. Ces éléments pourraient être qualifiés de "mensonge sans mensonge" par la philosophe italienne D'Agostini. Ainsi, le 31 juillet, j'ai publié un autre article, Les évidences trompent, en citant la Commission nationale de prospective.

Le contexte économique

Il semble que Sánchez ne renoncera pas à son affrontement avec les entreprises énergétiques. Il exigera des preuves de loyauté et de dévouement. En se basant sur l'histoire, on pourrait penser que son entêtement sera sanctionné. Barbara Tuchman, dans son ouvrage La marche de la folie, évoque des cas où la fermeté a conduit à la perte de leaders et de sociétés.

La narration officielle

Le gouvernement soutient que notre économie se développe grâce aux énergies renouvelables. Selon lui, une confrontation est à prévoir dans le secteur. Les entreprises énergétiques, conscientes des enjeux, commencent à préparer leurs stratégies de communication. Cela souligne la nécessité de clarifier la situation actuelle.

Les accusations de Sánchez

Sánchez évoque les pouvoirs obscurs en référence aux entreprises énergétiques, notamment en raison d'un impôt imposé. De plus, il insiste pour obtenir plus de données de leur part. Il sous-entend que ces entreprises cachent des informations et lance une accusation à Feijóo, lui demandant de choisir son camp.

La transition énergétique

Enfin, Sánchez conclura son argumentation en affirmant que la transition verte nécessite une sécurité énergétique accrue, liée aux effets du changement climatique. Il présentera cela comme une question de sûreté nationale, justifiant ainsi le besoin de renforcer les interconnexions électriques avec l'Europe.

Conclusion

En résumé, Sánchez fournira des preuves trompeuses pour soutenir son discours. Son argument repose sur une fausse dichotomie entre le bien commun qu'il défend et la voracité des entreprises énergétiques. Cette situation illustre la complexité des enjeux énergétiques et les perceptions du public face à la crise.

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