Une frappe sur l'église de la Sainte-Famille à Gaza a causé la mort de deux personnes, y compris le curé, le père Gabriel Romanelli. Cette tragédie a suscité une réaction immédiate de la France, via le ministre Jean-Noël Barrot, qui a qualifié l'attaque d'inadmissible.
Barrot a rappelé que cette église est placée sous la protection historique de la France. Il a exprimé sa solidarité envers le Patriarche latin de Jérusalem, soulignant que ces violences sont intolérables et qu'il est urgent que le carnage à Gaza cesse.
Georgia Meloni, présidente du Conseil italien, a également exprimé son indignation face à ce bombardement. Elle a déclaré que les raids israéliens sur Gaza, touchant des lieux de culte, sont inacceptables et ne peuvent être justifiés par aucune action militaire.
Le pape Léon XIV a exprimé sa tristesse face à cette attaque, sans mentionner Israël. Il a renouvelé son appel à un cessez-le-feu immédiat, comme l'indique un télégramme du Vatican.
Contactée par l'Agence France-Presse, l'armée israélienne a affirmé ne jamais cibler les sites religieux. Sur X, le ministère israélien des Affaires étrangères a exprimé sa profonde tristesse face aux pertes civiles et aux dégâts causés.
Ils ont promis d'examiner les circonstances de cet incident, dont les détails restent flous. Les résultats de l'enquête seront publiés de manière transparente.
Cette attaque s'inscrit dans un contexte de tensions croissantes au Proche-Orient. Les violences à Gaza persistent, affectant gravement la population civile. Les appels à la paix se multiplient, mais la situation reste critique.
Les organisations internationales et les leaders religieux continuent de plaider pour une résolution pacifique du conflit, alors que les pertes humaines s'accumulent.
La frappe sur l'église de la Sainte-Famille à Gaza a provoqué une onde de choc à l'échelle internationale. Les réactions des gouvernements et des institutions religieuses soulignent l'urgence d'une solution durable au conflit. La communauté internationale doit agir pour mettre fin à ces violences inacceptables.