Les frères nient avoir agressé la police à l'aéroport

Incident à l'aéroport de Manchester

Deux frères ont démenti avoir agressé des policiers lors d'une perturbation à l'aéroport de Manchester. L'incident s'est produit le 23 juillet de l'année dernière et a été largement diffusé en ligne. Les vidéos montrent un fracas au terminal 2 de l'aéroport.

Comparution au tribunal

Mohammed Fahir Amaaz, âgé de 20 ans, et Muhammad Amaad, âgé de 25 ans, originaires de Rochdale, ont plaidé non coupables lors de leur comparution au Liverpool Crown Court. Un procès, prévu pour durer trois semaines, est programmé pour le 30 juin prochain.

Le tribunal a entendu que M. Amaaz est accusé d'avoir agressé les agents de police Zachary Marsden et Lydia Ward au stationnement du terminal, leur causant des dommages corporels. Il est également accusé d'avoir agressé la policière Ellie Cook lors du même incident.

Agressions signalées

M. Amaad est également accusé d'avoir agressé PC Marsden, causant des dommages corporels. Les deux hommes, résidant à Tarnside Close, ont vu leur caution inconditionnelle prolongée après avoir plaidé non coupables.

Les accusations sont graves et le tribunal examine attentivement les éléments de preuve. Les deux frères continuent de clamer leur innocence face aux accusations portées contre eux.

Contexte de l'incident

Le 23 juillet, des vidéos de l'incident ont circulé, montrant une agitation au sein de l'aéroport. Les forces de l'ordre ont dû intervenir pour rétablir l'ordre. Les témoins ont rapporté que la situation était tendue et a nécessité une réponse rapide des policiers.

Les allégations d'agression contre les forces de l'ordre soulèvent des questions sur la sécurité dans les aéroports. Les autorités prennent ces incidents très au sérieux, car ils peuvent avoir des répercussions sur la sécurité publique.

Conclusion

Alors que le procès approche, les deux frères doivent préparer leur défense. Les accusations d'agression sont sérieuses et peuvent entraîner des conséquences importantes. La communauté suit de près l'évolution de cette affaire, qui soulève des préoccupations sur la sécurité dans les lieux publics.