Les dégâts causés par l’incendie de 2019 sont désormais réparés et la cathédrale a rouvert ses portes. Cependant, de nombreux travaux restent à réaliser, au moins jusqu’en 2028, voire 2035. Ces travaux concernent la surface extérieure, incluant le chevet, la sacristie et les roses, nécessitant à nouveau des investissements importants.
Depuis sa réouverture en décembre 2024, la cathédrale Notre-Dame de Paris (IVe) attire entre 30 000 et 35 000 visiteurs par jour. Cela signifie qu'elle a déjà dépassé les 2 millions d’entrées. Les fidèles, ainsi que les touristes parisiens et étrangers, redécouvrent chaque jour ce chef-d’œuvre gothique classé aux Monuments historiques.
Ce retour à la normale survient six ans après le sinistre, qui a failli voir disparaître ce monument emblématique. La restauration de l’édifice a été un défi majeur, lancé par Emmanuel Macron dès les premières heures suivant l'incendie.
Le défi de restaurer la cathédrale meurtrie par les flammes en cinq ans a été relevé avec brio. Environ 2 000 compagnons et artisans d’art de tout l’Hexagone ont contribué à cette tâche monumentale. Leur travail acharné a permis de redonner vie à ce symbole de la culture française.
Cependant, il est important de ne pas croire que la cathédrale ait achevé tous ses travaux. De nombreuses étapes restent encore à franchir pour garantir la préservation de ce monument historique.
À l’horizon 2028, la cathédrale devra faire face à des défis supplémentaires. Les travaux en cours visent à assurer la durabilité et la sécurité de la structure. Cela implique des investissements continus et une planification rigoureuse.
Les artisans et les spécialistes continueront à œuvrer pour préserver l’intégrité de ce site emblématique. Leur expertise sera essentielle pour garantir que Notre-Dame reste un lieu de culte et un symbole de l'histoire française.
La cathédrale Notre-Dame de Paris, après avoir subi des dégâts considérables, est en voie de restauration réussie. Grâce aux efforts de nombreux artisans, elle a rouvert ses portes et attire des millions de visiteurs. Toutefois, des travaux restent nécessaires pour assurer sa pérennité. L’avenir de ce monument historique dépend de l’engagement continu de la communauté et des autorités.