Le président de Vox, Santiago Abascal, a récemment rencontré la première ministre italienne, Giorgia Meloni, à Rome. Lors de cette rencontre, il a salué son gouvernement, le qualifiant de "bien dirigé" dans ces temps convulsés que nous traversons. Cette discussion a lieu en pleine guerre arancelaria initiée par le président américain, Donald Trump.
Abascal a partagé sur la plateforme X un selfie avec Meloni, exprimant son appréciation pour cette rencontre. Il a souligné que ces heures passées ensemble ont été très intéressantes. Meloni, pour sa part, se rendra à Washington la semaine prochaine pour discuter des tarifs douaniers avec Trump.
Au cours de leur échange, Abascal a mis en avant le gouvernement de Meloni, affirmant qu'« sans doute, l'Italie est aujourd'hui une nation fortunée et bien dirigée ». Ce commentaire démontre un rapprochement entre ces deux leaders de l'extrême droite. Leur alliance pourrait avoir des implications significatives sur la scène politique européenne.
Cette rencontre survient également peu après une réunion entre le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, et le président chinois, Xi Jinping, visant à renforcer les relations commerciales. Vox considère cette visite comme un risque pour l'Espagne et les futurs gouvernements nationaux.
Meloni a indiqué qu'elle entretient une bonne relation avec Trump. Elle a annoncé qu'elle se réunira avec lui le 17 avril, lors d'un événement impliquant des entreprises italiennes. L'objectif de cette réunion est d'évaluer l'impact des tarifs douaniers sur les échanges commerciaux.
La première ministre italienne prévoit de proposer à Trump l'élimination réciproque des tarifs industriels entre les États-Unis et l'Union Européenne, une initiative déjà suggérée par le gouvernement communautaire. Cette proposition pourrait influencer les relations commerciales transatlantiques.
La rencontre entre Santiago Abascal et Giorgia Meloni souligne les tensions croissantes dans le contexte des guerres tarifaires. Leur alliance pourrait redéfinir les relations entre l'Italie, l'Espagne et les États-Unis. À mesure que ces leaders poursuivent leurs discussions, l'avenir des échanges commerciaux en Europe reste incertain.