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Le juge Peinado convoque le responsable du gouvernement ayant proposé de nommer l'adjointe de Moncloa au service de Begoña Gómez

Publié le : 14 février 2025

Introduction

Dans une affaire de corruption et de trafic d'influences, le juge enquête sur Begoña Gómez. Il a convoqué Alfredo González, le fonctionnaire ayant proposé la nomination de Cristina Álvarez. Cette dernière, conseillère à Moncloa, a été impliquée dans des activités controversées. La situation semble se complexifier avec des implications juridiques importantes.

Contexte de l'enquête

Le magistrat Juan Carlos Peinado a ordonné à González de témoigner le 26 février. Deux jours plus tard, Cristina Álvarez sera entendue en tant qu'imputée. Dans son ordonnance, le juge a souligné que l'enquête vise à déterminer si Álvarez a commis un délit de trafic d'influences et de corruption dans les affaires.

Peinado a également demandé l'accès à des enregistrements d'appels d'Álvarez, liés à des institutions prestigieuses. Ces demandes visent à établir des liens entre ses communications et les entités avec lesquelles elle a interagi, notamment l'Université Complutense de Madrid.

Rôle de Cristina Álvarez

Cristina Álvarez, directrice des programmes à la présidence, a été impliquée dans la gestion de la chaire de Begoña Gómez. Bien que ses responsabilités soient officielles, une partie de son travail était dédiée aux tâches privées de l'épouse du président. Cela soulève des questions éthiques et juridiques sur son rôle.

Les accusations populaires ont demandé son audition, d'abord comme témoin, puis comme imputée. Les activités d'Álvarez dans la chaire de Gómez comprennent des tentatives de maintien de financements et de partenariats pour des projets universitaires.

Implications juridiques

Les actions d'Álvarez pourraient constituer une malversation en raison de son implication dans des tâches privées. Les courriels échangés montrent qu'elle a utilisé des ressources publiques pour des activités non officielles. Cela soulève des préoccupations quant à l'utilisation des fonds publics.

Un rapport de Hazte Oír a souligné que le rôle d'Álvarez pourrait violer des lois sur la malversation et le trafic d'influences. Les accusations soutiennent que son utilisation par Begoña Gómez pour des tâches personnelles pourrait entraîner des sanctions pénales.

Conclusion

La situation de Cristina Álvarez et Begoña Gómez est délicate, impliquant des accusations sérieuses de corruption. L'enquête menée par le juge Peinado pourrait avoir des conséquences importantes pour les personnes impliquées. Les prochaines audiences détermineront l'ampleur des implications juridiques et éthiques de cette affaire.

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