BUENODIA

Alvise Enmarca La "critique Politique" Du Presumé Harcèlement Sur Les Réseaux À Une Procureure

Sports et LoisirsParapharmacie
Harcèlement - Alvise Enmarca La "critique Politique" Du Presumé Harcèlement Sur Les Réseaux À Une Procureure

Introduction

Le leader de Se acabó La Fiesta (SALF), Luis 'Alvise' Pérez, a récemment évoqué la liberté d'expression et la critique politique lors de sa déclaration au Tribunal Suprême. Ce témoignage fait suite à des accusations de harcèlement sur les réseaux sociaux visant la procureure Susana Gisbert, en charge des délits de haine à Valence.

Contexte des accusations

Lors de son témoignage, 'Alvise' a affirmé que ses messages sur les réseaux sociaux avaient pour but de critiquer des actions qu'il considère injustes. Il a déclaré que ces critiques visaient à dénoncer des tentatives d'emprisonner des citoyens pour avoir exprimé des opinions sur l'immigration massive.

Il a également souligné que, par le passé, de telles déclarations étaient perçues comme des exercices de liberté d'expression. Cependant, il se retrouve aujourd'hui devant le Tribunal Suprême, une situation qu'il a qualifiée de répétitive et regrettable.

Les messages controversés

Le Tribunal a pris en compte des messages diffusés sur le canal Telegram de 'Alvise', qui auraient incité à une hostilité envers Gisbert. Ces messages, selon le Tribunal, ont provoqué des réactions violentes de la part de ses abonnés, incluant des menaces et des insultes.

Un des messages mentionnait l'organigramme des responsables des délits de haine, qualifiant l'immigration illégale d'invasion. Cela a été interprété comme une incitation à s'en prendre à Gisbert, qui a demandé des sanctions sévères contre ceux qui utilisent des termes comme 'immigration' et 'invasion' ensemble.

Réactions du Tribunal

Le Tribunal Suprême a noté que 'Alvise' a permis la diffusion des profils de Gisbert sur des plateformes comme X, Facebook et Instagram, où elle a reçu des menaces. Bien que le Tribunal n'ait pas trouvé de preuves directes de menaces de la part de 'Alvise', cela ne l'exclut pas de toute responsabilité criminelle.

Les enquêteurs n'ont pas pu identifier les auteurs des commentaires sur Telegram, mais ont pu établir que 'Alvise' était l'administrateur du canal. Cela soulève des questions sur son rôle dans la propagation de ces messages.

Antécédents judiciaires

C'est la deuxième fois que 'Alvise' se présente volontairement devant le Tribunal Suprême. En juin dernier, il avait déjà été entendu concernant la diffusion d'une PCR falsifiée d'un ancien ministre. Cela témoigne d'un parcours judiciaire chargé qui soulève des préoccupations sur ses activités.

En outre, 'Alvise' fait face à une troisième affaire concernant une financement illégal de partis politiques, avec des allégations de 100 000 euros reçus pour les élections européennes de 2024. Il a confirmé qu'il retournerait au Tribunal pour répondre de ces accusations.

Conclusion

Les événements entourant 'Alvise' Pérez soulignent des enjeux cruciaux liés à la liberté d'expression et à la responsabilité sur les réseaux sociaux. Alors qu'il continue de défendre ses actions comme des critiques politiques, les implications légales de ses messages pourraient avoir des conséquences significatives. L'affaire reste à suivre de près.

Publié le : 20 juin 2025
ParapharmacieSports et LoisirsHigh TechMaison déco
Maison décoHigh Tech