Trump détourné et contraint de changer d'hélicoptère en route vers Stansted

Incident de l'hélicoptère de Trump

Le président des États-Unis, Donald Trump, a dû faire une détour imprévu lors de son voyage de retour au Royaume-Uni. En effet, son hélicoptère a été contraint de se poser à l'Aéroport de Luton à cause d'un problème hydraulique mineur. Cette situation a engendré un retard d'environ 20 minutes dans son emploi du temps.

Selon la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, la décision de se poser à Luton a été prise "par excès de prudence". Elle a ajouté que le président et la première dame ont embarqué en toute sécurité à bord d'un hélicoptère de soutien après l'atterrissage.

Mesures de sécurité

Des services d'urgence étaient présents sur le tarmac de Luton après l'atterrissage. Des images ont montré les hélicoptères de Trump, connus sous les noms de Marine One et Marine Two, stationnés près de la piste de l'aéroport. Ces appareils sont adaptés pour la sécurité, étant équipés de systèmes de défense contre les missiles et de brouilleurs radar.

De plus, Marine One vole souvent en formation avec d'autres hélicoptères identiques pour servir de leurres. Ce dispositif augmente la sécurité du président en cas d'urgence.

Visite d'État au Royaume-Uni

Trump utilisait l'hélicoptère Marine One pour se déplacer durant sa deuxième visite d'État au Royaume-Uni. Il est arrivé à Stansted tard dans la nuit de mardi et a été transporté à Winfield House, résidence officielle de l'ambassadeur des États-Unis à Londres.

Le lendemain, le président et sa femme se sont rendus au Château de Windsor pour rencontrer le roi et la reine. Jeudi, Trump a été transporté de Windsor à Chequers pour des discussions diplomatiques avec le Premier ministre britannique, Sir Keir Starmer.

Conférence de presse conjointe

Lors d'une conférence de presse conjointe à Chequers, Trump et Starmer ont abordé divers sujets, notamment l'Ukraine, Gaza et la migration illégale. Trump a exprimé son désaccord avec le Premier ministre sur la question de la reconnaissance de l'État palestinien, suggérant que le Royaume-Uni pourrait résoudre ce problème en appelant l'armée.

Starmer prévoit de reconnaître l'État palestinien avant l'assemblée générale des Nations Unies qui se tiendra à New York la semaine prochaine.

Conclusion

En résumé, l'incident survenu avec l'hélicoptère de Trump met en lumière les défis logistiques et les mesures de sécurité entourant les visites d'État. Malgré ce contretemps, le président a pu poursuivre ses engagements diplomatiques au Royaume-Uni.