
Le 10 octobre, trois jeunes femmes radicalisées ont été mises en examen et écrouées. Elles sont soupçonnées d'avoir projeté une attaque djihadiste contre un lieu de spectacle ou un bar à Paris. Ces femmes présentent des profils surprenants, marqués par la solitude, des pulsions de mort et un handicap.
Les trois femmes se revendiquent salafistes. Selon la DGSI, elles ne quittent jamais leur domicile sans un niqab qui couvre intégralement leur visage. Cette pratique témoigne de leur engagement envers une idéologie extrême.
Enfermées chez elles, elles passent leur temps à visionner des vidéos de propagande djihadiste sur des plateformes comme Snapchat, TiKTok et Telegram. Leur isolement social semble exacerber leur radicalisation.
Ces femmes sont décrites comme solitaires et en proie à des tendances suicidaires. Leur état psychologique soulève des inquiétudes quant à leur capacité à réaliser un acte violent.
L'une d'elles est lourdement handicapée et se déplace en fauteuil roulant. Ce facteur contribue à leur isolement et à leur vulnérabilité face à des idéologies extrêmes.
Les trois amies sont au cœur d'un projet d'action violente, envisageant une possible attaque kamikaze à la ceinture explosive à Paris. Ce projet soulève des préoccupations majeures pour la sécurité publique.
Les autorités surveillent de près ce groupe. La DGSI redouble d'efforts pour prévenir toute forme de violence et protéger les citoyens. La situation reste tendue et incertaine.
Ces trois jeunes femmes radicalisées illustrent les dangers de l'isolement et de la radicalisation. Leur projet d'attaque souligne l'importance d'une vigilance accrue et d'une intervention rapide pour prévenir des actes violents. La société doit rester attentive à ces signaux d'alerte.