Les événements récents concernant l'Iran et les États-Unis ont capté l'attention des médias. Après des frappes aériennes massives sur des installations nucléaires iraniennes, les réactions sont vives. Les titres des journaux reflètent une situation tendue et des promesses de représailles de la part de Téhéran.
Le Financial Times annonce que "Trump déclare victoire" après avoir bombardé trois sites nucléaires. L'administration américaine affirme ne pas être en guerre avec l'Iran, mais avec son programme nucléaire. Ce bombardement est qualifié de risque par le journal.
Le Metro titre "Hammered", soulignant l'ampleur de l'attaque, nommée Opération Midnight Hammer. Des images satellites révèlent de nouveaux cratères au site nucléaire de Fordo, où des bombes de type "bunker buster" ont été utilisées. Le ministre iranien des Affaires étrangères a averti des "conséquences éternelles".
Le Guardian met en avant la promesse de l'Iran de se venger, qualifiant l'attaque d'« intervention la plus significative depuis des générations ». Il souligne que le président américain a rejoint Israël dans sa lutte contre Téhéran, ce qui pourrait entraîner une guerre prolongée.
Le Daily Telegraph note que Trump, qui avait promis de mettre fin aux "engagements étrangers", est devenu un leader de guerre. Le secrétaire d'État, Marco Rubio, a averti que toute vengeance de l'Iran serait "la pire erreur" jamais commise.
Le Daily Express se concentre sur Londres, où le Premier ministre a mis en garde contre une "escalade". Le journal rapporte que la menace terroriste au Royaume-Uni a augmenté suite à l'intervention des États-Unis. Les craintes d'un retour de terrorisme iranien sont palpables.
Le Daily Mail partage des inquiétudes similaires, soulignant que l'activité iranienne au Royaume-Uni est déjà "substantielle". Le secrétaire aux affaires, Jonathan Reynolds, a noté qu'il serait "naïf" de penser que cette situation ne s'aggraverait pas.
Les tensions croissantes ont conduit à une pression diplomatique accrue, notamment de la part du Royaume-Uni, pour éviter une détérioration de la situation. Le i Paper rapporte que Trump a "poussé le Moyen-Orient au bord" d'un conflit majeur.
La Daily Mirror souligne que le Premier ministre a appelé au calme après que l'attaque a risqué de plonger le monde dans la guerre. Les appels à la diplomatie se multiplient alors que la situation demeure volatile.
En somme, les récentes frappes américaines sur l'Iran ont déclenché des réactions fortes tant au niveau national qu'international. Les promesses de représailles et les craintes d'une escalade militaire soulignent la fragilité de la situation actuelle. La communauté internationale doit agir rapidement pour éviter une crise majeure.