Le Organisme International de l'Énergie Atomique (OIEA) a récemment nié tout rapport d'augmentation des niveaux de radiation en Iran. Cela fait suite aux bombardements américains qui ont "détruit totalement" les installations nucléaires de Fordo, Isfahan et Natanz. Selon le communiqué publié sur X, l'OIEA a confirmé qu'aucun accroissement des niveaux de radiation n'a été observé jusqu'à présent.
Le président américain, Donald Trump, a salué le "grand succès" de l'attaque. Il a affirmé que l'objectif principal était de "détruire la capacité d'enrichissement nucléaire de l'Iran". Trump a ajouté que cela visait à stopper la menace nucléaire venant de l'Iran, considéré comme le principal État sponsor du terrorisme dans le monde.
Avant ces frappes, les États-Unis avaient imposé des sanctions sévères, mené des cyberattaques et effectué des opérations secrètes. Ils ont également fourni divers types d'informations et de moyens à Israël pour tenter de freiner le programme nucléaire iranien. Cependant, jamais ils n'avaient osé frapper directement, un risque jugé énorme par leurs prédécesseurs.
Les précédents dirigeants, des deux partis, craignaient que cela n'enflamme toute la région. Ils redoutaient des réactions incontrôlables de la part des alliés régionaux. Washington a tenté de rassurer ses alliés en précisant que le bombardement ne constituait pas une déclaration de guerre.
Steve Bannon, figure majeure de l'univers MAGA, s'est opposé à l'attaque. Il a exprimé ses craintes quelques heures avant, en déclarant que la "fiesta avait commencé". Il a averti que cela pourrait être, d'une manière ou d'une autre, "le début de la troisième Guerre Mondiale".
La situation en Iran demeure tendue suite aux récentes frappes. Les déclarations du OIEA et de Trump illustrent les enjeux nucléaires et géopolitiques complexes. Il sera crucial de suivre l'évolution de cette situation pour comprendre les implications à long terme.