Le tribunal numéro 1 de la Violence contre les Femmes de Grenade a décidé d'archiver la plainte de Juana Rivas. Cette plainte portait sur la violence vicieuse internationale contre son ex-partenaire, Francesco Arcuri. Cette décision a été révélée par le journal EL MUNDO.
Les avocats de Rivas, sous la direction de Carlos Aránguez, ont souligné que leur action judiciaire visait à dénoncer plus de huit ans de violence de genre. Cependant, ils ont précisé que les faits ne devraient pas être examinés individuellement. Ceux-ci sont déjà en cours de traitement en Italie et en Espagne.
Le tribunal a justifié son archivage en affirmant qu'il évitait ainsi que les mêmes faits soient jugés deux fois. Cela repose sur le principe juridique latin 'non bis in idem', qui signifie qu'une même affaire ne peut être jugée à plusieurs reprises.
Bien que la décision du tribunal soit un document succinct de seulement un folio et demi, elle offre la possibilité d'un recours. Les avocats de Rivas ont annoncé leur intention de contester cette décision devant le même tribunal.
Dans leur plainte, les avocats de Rivas ont également mentionné les tribunaux et procédures où les faits sont actuellement investigués. Ils ont insisté sur le fait que d'autres procédures ne seraient pas acceptées, comme l'a précisé le tribunal de la Violence contre les Femmes 1 de Grenade.
La décision d'archiver la plainte de Juana Rivas met en lumière les complexités juridiques entourant les affaires de violence domestique. Les implications de cette décision sont importantes, et le recours annoncé pourrait ouvrir de nouvelles perspectives dans cette affaire délicate.