Cette semaine, un groupe de supporters du Paris FC a été dissous par les autorités. Cette décision intervient deux jours après la montée du club en Ligue 1. Le groupe concerné, connu sous le nom de Légion X, n'était pas reconnu par le club.
La dissolution a été justifiée par des actes de violence et de dégradations, comme indiqué dans un décret publié au Journal officiel. Ces incidents ont eu lieu dans des enceintes sportives ou à leurs abords.
Le texte officiel précise que les membres de Légion X étaient impliqués dans des rixes et des tentatives de rixes, causant plusieurs blessés. De plus, des dégradations ont été commises contre des biens.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé le 1er avril son intention de proposer la dissolution du groupe. Pierre Ferracci, président du Paris FC, a affirmé que ces individus ne représentaient pas les véritables supporters du club.
Le président du Paris FC a exprimé sa satisfaction quant à la décision des pouvoirs publics. Il a souligné que le club évoluera en Ligue 1 la saison prochaine.
En parallèle, deux groupes d’ultras de l’AS Saint-Étienne, les Magic Fans et Green Angels, sont également surveillés par le ministère de l’Intérieur. Cependant, ils ont pour l’instant été épargnés.
La dissolution de Légion X soulève des questions sur la sécurité dans les stades. Les autorités cherchent à rétablir l'ordre et à prévenir de futurs incidents violents.
Le Paris FC, en tant que club, doit naviguer dans ce contexte délicat tout en préservant son image et celle de ses véritables supporters.
La dissolution du groupe Légion X marque un tournant pour le Paris FC. Cela souligne la nécessité d'une sécurité renforcée dans le football. L'avenir du club en Ligue 1 dépendra de la gestion de ces enjeux et de l'engagement des supporters authentiques.