L’association le Roso, située dans l’Oise, a récemment examiné une question cruciale. Le constat est alarmant : en raison du manque d’information et de l’absence de contrôles, les bâtiments destinés au jeune public ne respectent pas toujours les normes en vigueur. « Personne ne vérifie ce qui est fait… Pourtant, on parle de la santé des enfants », souligne-t-elle.
Promulguée en 2010 et mise en œuvre progressivement depuis 2018, la loi sur la qualité de l'air intérieur est essentielle. Cependant, qui s'inquiète réellement de son application dans les établissements accueillant des enfants ? C'est la question que s'est posée le Roso.
Didier Malé, président de le Roso, a pris l'initiative d'écrire à quatre communes de son secteur de résidence. Il a également contacté les instances publiques pour s'assurer que la loi est bien appliquée. Ses conclusions sont préoccupantes.
Il constate que « L’Agence régionale de Santé et les services de la préfecture se renvoient la balle ». Ces institutions semblent jouer un rôle d'accompagnateur, mais le contrôle effectif est inexistant. Cela soulève des questions sur la responsabilité en matière de santé publique.
Le manque de vérification peut avoir des conséquences graves. Les enfants, qui passent beaucoup de temps dans ces établissements, sont exposés à des conditions insalubres. Cela peut affecter leur santé à long terme, notamment en termes de respiration et de bien-être général.
Cette situation appelle à une prise de conscience collective. Les parents, les éducateurs et les autorités doivent s'unir pour garantir que les normes de qualité de l'air sont respectées. La santé des enfants ne doit pas être compromise.
Il est impératif que des mesures soient prises pour améliorer la situation. Le Roso appelle à une mobilisation des acteurs concernés. Il est temps que les instances compétentes prennent leurs responsabilités et assurent un suivi rigoureux.
La santé des enfants doit être la priorité. Les parents doivent être informés et les établissements doivent être audités régulièrement pour garantir un environnement sain.
En résumé, la situation actuelle concernant la qualité de l'air dans les établissements accueillant des jeunes est préoccupante. Le Roso met en lumière l'absence de contrôles nécessaires. Il est essentiel que chacun prenne conscience de l'importance de cette question. La santé des enfants doit être protégée par des actions concrètes et efficaces.