
La Coupe d'Afrique des nations 2025 a été marquée par des décisions controversées de la VAR. Lors de la deuxième journée, le match entre le Maroc et le Mali a été le théâtre d'une telle situation. Les deux équipes ont terminé sur un score de parité, laissant chacun sur sa faim.
Le Maroc, en quête de qualification, a bien commencé. Dans le temps additionnel, Brahim Diaz a débordé sur le flanc droit et a été victime d'une faute. Le défenseur malien, Nathan Gassama, a involontairement touché le ballon de la main, provoquant la colère des joueurs marocains.
L'arbitre, Abdou Abdel Mefire, a été contraint de consulter la VAR. Après révision, il a accordé un pénalty au Maroc. Diaz a transformé le tir, marquant ainsi son second but dans cette compétition.
En seconde période, la VAR a de nouveau joué un rôle crucial. À l'heure de jeu, Jawad El-Yamiq a commis une faute sur Lassine Sinayoko. L'arbitre, initialement indifférent, a été alerté par la VAR et a accordé un pénalty au Mali.
Sinayoko a converti l'occasion, rétablissant l'égalité. Ce moment a relancé le match, mais le Maroc manquait d'un joueur clé pour reprendre l'avantage.
Le capitaine marocain, Achraf Hakimi, n'a pas participé au match. Bien qu'il ait été présent dans les tribunes pour soutenir son équipe, il était sur le banc en raison d'une blessure. Cette absence a pesé sur les performances des Lions de l'Atlas.
Walid Regragui, l'entraîneur, a déclaré qu'il prendrait la meilleure décision pour Hakimi. Cela a conduit à son absence lors de ce match crucial.
Le match s'est terminé sur un score de 1-1, laissant les deux équipes frustrées. Le Maroc espérait s'imposer pour se rapprocher de la qualification, mais le Mali a également besoin de points pour avancer.
Les débats autour des décisions de la VAR continueront d'alimenter les discussions. La qualification reste à jouer, avec des matchs décisifs à venir.
Ce match entre le Maroc et le Mali a mis en lumière l'impact de la VAR dans le football moderne. Avec un score nul, les deux équipes doivent désormais se concentrer sur leurs prochains défis. La route vers la qualification est encore ouverte, mais les enjeux sont plus élevés que jamais.