
Une femme de 36 ans, atteinte de schizophrénie, a été retrouvée morte à son domicile dans le quartier de Maurepas, à Rennes. Cette découverte a été faite par deux infirmières lundi. Le parquet a ouvert une enquête pour meurtre sur personne vulnérable, révélant ainsi la gravité des circonstances entourant ce décès.
Selon une source policière, le corps de la victime présente de multiples lésions, y compris des marques de strangulation. Un couteau a également été retrouvé à proximité, ce qui soulève des questions sur les événements qui ont conduit à ce drame.
La victime hébergeait deux personnes qui sont connues de la police judiciaire. Ces individus font actuellement l’objet de recherches. Les autorités cherchent à établir un lien entre ces personnes et le meurtre, ce qui pourrait aider à éclaircir cette affaire tragique.
L’enquête a été confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS), afin de garantir une investigation approfondie et professionnelle. Le parquet de Rennes a précisé l’importance de cette enquête pour la justice et la sécurité des citoyens.
Ce drame met en lumière la vulnérabilité des personnes atteintes de troubles mentaux. Les enquêtes sur les meurtres de personnes vulnérables sont toujours délicates et nécessitent une attention particulière. La communauté locale est sous le choc, et des appels à la solidarité envers les personnes en situation de vulnérabilité commencent à émerger.
Les autorités encouragent toute personne ayant des informations à se manifester. Cela pourrait aider à résoudre cette affaire et à apporter un peu de justice à la victime et à sa famille.
La découverte de cette femme à Rennes souligne les dangers auxquels sont confrontées les personnes vulnérables. Alors que l’enquête se poursuit, il est essentiel de rester vigilant et solidaire. La société doit s’unir pour protéger ceux qui sont le plus en danger et garantir que de tels incidents ne se reproduisent pas à l'avenir.