
Laurent Nuñez, le ministre de l'Intérieur, a voulu rassurer le public concernant l'attaque informatique subie par le ministère. Il a déclaré le 12 décembre qu'il n'y avait « pas de trace de compromission grave » des messageries. Cette déclaration a été faite lors d'une interview sur RTL.
Le ministre a précisé qu'un assaillant avait réussi à accéder à certains fichiers. Cependant, il a assuré que des procédures de protection avaient été mises en place pour sécuriser les données. La situation semble donc sous contrôle, bien que des investigations soient toujours en cours.
Concernant la possibilité que des fichiers aient été exfiltrés, Laurent Nuñez a indiqué qu'il était encore trop tôt pour le confirmer. « On ne sait pas encore », a-t-il dit. Toutefois, il a réaffirmé qu'il n'y avait pas de trace de compromission grave pour le moment.
Le ministre a également souligné l'importance de renforcer la sécurité des systèmes d'information. Cela inclut la mise à jour des modalités d'accès pour tous les agents du ministère. Une enquête approfondie est actuellement en cours pour déterminer l'ampleur de l'attaque.
Lors de son intervention, Laurent Nuñez a évoqué plusieurs hypothèses concernant l'origine de l'attaque. Il a mentionné la possibilité d'ingérences étrangères ou d'actes de cybercriminalité. Ces éléments soulignent la complexité de la situation.
Il a également noté que certains individus pourraient vouloir défier les autorités en accédant à des systèmes sensibles. Cependant, il a conclu en affirmant qu'il était encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives sur la nature de l'attaque.
Après la découverte d'activités suspectes sur les serveurs de messagerie, des mesures ont été rapidement mises en œuvre. Ces actions visent à circonscrire la menace et à protéger les données sensibles du ministère de l'Intérieur.
La place Beauvau a annoncé l'ouverture d'une enquête pour examiner les détails de cette attaque. Les autorités restent vigilantes et travaillent activement à la sécurisation des systèmes d'information.
En résumé, l'attaque informatique sur le ministère de l'Intérieur a suscité des inquiétudes, mais les autorités semblent prendre la situation au sérieux. Laurent Nuñez a rassuré le public en affirmant qu'il n'y avait pas de compromission grave pour le moment. Les investigations se poursuivent pour identifier l'origine de cette menace.