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Colin Farrell : "Je ne vais pas sur les tapis rouges ni ne prends de jets privés... Aujourd'hui, oui, c'est Netflix qui paie. Merci, Netflix !"

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Netflix - Colin Farrell : "Je ne vais pas sur les tapis rouges ni ne prends de jets privés... Aujourd'hui, oui, c'est Netflix qui paie. Merci, Netflix !"

La vision de Spinoza sur les vices

Selon Spinoza, chaque vice découle d'un problème d'ignorance. La stupidité ou la cécité des passions nous empêche d'appréhender la véritable nature des choses. Comprendre cela mène à apprécier la vraie liberté, qui est une conséquence de la raison.

Colin Farrell et son rôle dans "Maldita suerte"

Il n'est pas certain que Colin Farrell ait reçu l'offre de participer à "Maldita suerte" tout en lisant l'Éthique de Spinoza. En fait, il admet qu'il n'a pas encore lu le roman de Lawrence Osborne, mais il promet de le faire plus tard. Il préfère ne pas comparer le film avec le texte.

Farrell, qui se décrit comme un fidèle de Spinoza, évoque que toute addiction, qu'elle soit au jeu ou à l'alcool, nuit à notre capacité à vivre en harmonie avec nous-mêmes. Il explique que cela nous rend esclaves de nos passions, nous privant ainsi de notre liberté.

Une réflexion sur l'addiction

Lors d'une présentation à San Sebastián, Farrell partage ses pensées sur les addictions. Il affirme que ces dernières nous obligent à mentir, d'abord à nous-mêmes. Il souligne que l'addiction crée un chaos intérieur, reflet du bruit extérieur et des excès de la société.

Il décrit son personnage comme étant piégé dans une spirale de consommation et de dépenses. Farrell remarque que le film aborde des thèmes universels, tels que la gourmandise et l'obsession pour l'argent, qui empoisonnent les relations humaines.

Une évolution personnelle et professionnelle

Pour Farrell, ce film représente un tournant dans sa carrière après des succès récents. Il admet avoir lutté avec ses propres vices, notamment l'alcool, et que la célébrité l'a pris par surprise. Il se dit fier de son parcours, même s'il reconnaît ses erreurs.

Il évoque également un changement dans le style de réalisation d'Edward Berger, qui abandonne le contrôle rigoureux au profit d'une approche plus libre et excessive. Farrell explique que son personnage est marqué par un besoin insatiable de consommation, qui reflète une vérité plus large sur notre société.

La célébrité et ses pièges

Farrell partage des réflexions sur la célébrité et son impact. Il se souvient de ses débuts, quand il a été submergé par le succès. Il admet que la célébrité peut créer une illusion de valeur personnelle, rendant difficile la distinction entre soi et son image publique.

Il conclut en disant qu'il a appris à apprécier les choses qui comptent vraiment dans sa vie, comme sa famille et ses amis. Bien qu'il ait connu des excès, il s'efforce maintenant de mener une vie plus équilibrée, loin des tapis rouges et des jets privés.

Conclusion

En somme, Colin Farrell incarne un personnage complexe, reflet de ses propres luttes avec l'addiction et la célébrité. Sa connexion avec les idées de Spinoza enrichit sa performance et offre une perspective sur la liberté et la véracité dans un monde souvent dominé par les excès.

Publié le : 14 novembre 2025
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