« Ce n'est pas fini », déclare le fils de l'otage dont le corps reste à Gaza.

Introduction

La situation des otages en Gaza reste critique. Rotem Cooper, le fils d'un otage israélien, exprime sa douleur face à la non-restitution du corps de son père. Il fait face à la réalité que "ce n'est pas fini" et que le combat va se poursuivre.

Les attentes des familles

Les familles des otages avaient mis leurs espoirs dans le retour des corps. Rotem a déclaré que, malgré l'attente de 15 à 20 corps, seulement quatre ont été restitués. Cette situation a été vécue comme une "très grande déception" pour eux.

Leur espoir était immense après deux ans de captivité. Les familles se battent pour obtenir des réponses et réclament une réaction sérieuse du gouvernement israélien face à ce qu'ils considèrent comme une violation de l'accord par Hamas.

Les circonstances de la mort des otages

Amiram Cooper, le père de Rotem, a été enlevé lors des attaques menées par Hamas le 7 octobre 2023. Bien que les forces de défense israéliennes aient confirmé leur présence dans la région, elles n'ont pas précisé les circonstances de sa mort. Hamas affirme qu'il a été tué par une frappe militaire israélienne.

Cette incertitude alimente la douleur des familles. Les proches demandent des réponses claires et une transparence sur les événements survenus pendant la captivité.

Les réactions des familles

Rotem a partagé son expérience émotionnelle, décrivant un "grand soulagement" en voyant le retour des otages vivants, mais une tristesse profonde face à l'absence de son père. Il espère que le retour du corps de son père lui apportera "un peu de fermeture".

Ruby Chen, dont le fils Itay est toujours enlevé, a exprimé des sentiments similaires. Bien qu'il ait été heureux de voir des otages revenir, il a ressenti une déception face à l'absence de plus de corps restitués.

Appels à l'action

Les familles demandent instamment au gouvernement israélien et aux médiateurs d'exiger que Hamas respecte l'accord signé. Ils souhaitent que tous les otages restants soient ramenés à la maison, ainsi que les corps des défunts.

Ils espèrent que la pression internationale contribuera à faire avancer cette cause. Les familles sont déterminées à ne pas abandonner et à continuer le combat pour leurs proches.

Conclusion

La situation des otages en Gaza demeure complexe et émotionnelle. Les familles vivent un véritable cauchemar tout en espérant des réponses et un retour de leurs êtres chers. La lutte pour la justice et la paix se poursuit, et les voix des familles doivent être entendues.