La sélection d'une personne pour un poste directif est cruciale pour une entreprise. Lorsque ce poste est au sommet, la question devient encore plus sérieuse. On entend souvent la phrase : "nous ne pouvons pas nous tromper". Récemment, un changement majeur a eu lieu chez Criteria, dont les dividendes soutiennent la Fondation "la Caixa" dans ses actions sociales.
Ces dividendes s'élèvent à des centaines de millions, ce qui implique que le responsable de Criteria doit posséder plusieurs qualités essentielles. Il doit avoir une formation solide, une expérience en haute direction, une vision globale de l'entreprise, ainsi qu'une compréhension internationale du marché. De plus, il doit être capable de communiquer avec les employés à différents niveaux.
Le dirigeant idéal doit combiner une grande initiative avec la capacité de comprendre les attentes des supérieurs. En effet, celui qui dirige est souvent celui qui détient les ressources financières. Il est donc crucial d’établir une relation fluide et efficace. En plus de ces compétences, le nouveau dirigeant doit également produire des résultats tangibles.
Le récent changement chez Criteria a entraîné le remplacement du numéro 1 par un autre cadre. Bien que je ne sois pas au courant des détails internes, il est possible que des considérations politiques aient joué un rôle. On dit que l'ancien dirigeant avait des tendances socialistes, tandis que le nouveau serait plus proche du PP.
Parallèlement, un autre événement crucial se déroule : l'élection du nouveau Pape. Les cardinaux sont déjà à Rome, et le conclave commence bientôt. Actuellement, ils discutent, réfléchissent et, surtout, prient. Ce processus est d'une gravité bien plus importante que celui de la Fondation.
Chaque cardinal porte la responsabilité de discerner qui est le pasteur que Dieu souhaite pour son Église à ce moment précis. Ce pasteur jouera un rôle clé pour nous aider à distinguer le bien du mal et à définir notre comportement éthique.
Les cardinaux doivent choisir une figure ayant une influence significative sur nos vies intimes, ce qui dépasse largement l'impact sur les simples résultats financiers. Leur choix influencera également la moralité des moyens employés pour atteindre ces résultats.
Je pense, avec tout le respect dû à ceux qui estiment qu'un bon chasseur de têtes pourrait s'occuper de cette tâche à Rome, que la question est plus complexe. C'est pourquoi j'insiste sur la nécessité pour les cardinaux de prier. Et si nous pouvons les soutenir dans cette démarche, c'est encore mieux.
En résumé, la sélection d'un dirigeant, que ce soit dans une entreprise ou au sein de l'Église, requiert une attention particulière. Les enjeux sont élevés et les conséquences de ces choix sont profondes. Il est essentiel que les personnes impliquées prennent leur responsabilité au sérieux et agissent avec discernement.