
Pour leur première apparition publique, les membres de l’union de gauche pour les municipales à Paris, prévues les 15 et 22 mars 2026, ont choisi un lieu symbolique. C'est sur la place Alice-Guy que les candidats se sont réunis pour partager un repas dans une cantine solidaire.
La place Alice-Guy, autrefois site d'un hôpital, a été entièrement réaménagée en logements et espaces verts. Ce choix de lieu souligne l'importance de l'urbanisme durable et de la vie communautaire. Les candidats du PS, PCF, des Écologistes et de Place publique ont ainsi voulu marquer leur engagement.
Ce rassemblement a lieu dans un arrondissement qui est un véritable clin d’œil, puisque la maire du XIVe, Carine Petit, est une ancienne socialiste devenue écologiste. Ce mélange symbolise les valeurs partagées par cette union, qui vise à rassembler divers courants de pensée.
Emmanuel Grégoire, le chef de file de cette alliance, a exprimé sa satisfaction quant à cette union. Il a déclaré que cette coalition a pour objectif de porter une mission sociale et environnementale. Cela inclut un projet de ville populaire qui soit à la fois protecteur et vivant.
Grégoire a également souligné l'importance de maximiser les chances d'obtenir un score élevé lors du premier tour des élections. Il a exprimé son espoir que cette union puisse incarner un véritable espoir de rassemblement pour les électeurs.
En somme, cette première rencontre de l’union de gauche à Paris marque un tournant dans la politique locale. Les candidats ont affiché leur volonté de travailler ensemble pour un avenir plus durable et inclusif. Cette initiative pourrait bien poser les bases d'une nouvelle dynamique politique dans la capitale.