Le 16 février, une agression violente a eu lieu dans la cour de l'association ACTIT à Paris, où un homme de 30 ans a été attaqué par une vingtaine d'hommes d'extrême droite. Cet incident a suscité une forte réaction, entraînant l'interpellation de plusieurs suspects.
Dans l'après-midi du 16 février, une vingtaine d'hommes, majoritairement cagoulés, ont pénétré de force dans l'immeuble de l'association ACTIT. Ils étaient présents pour perturber la projection d'un film antifasciste intitulé "Z", réalisé par Costa-Gavras.
Des membres de l'association, alertés par le tumulte, sont descendus pour intervenir. Paul, l'un des membres, a été violemment agressé, ce qui a conduit à une intervention rapide des secours. Son état de santé est désormais stabilisé.
Suite à cette agression, six individus ont été interpellés et leurs gardes à vue ont été levées. Ils ont été déférés devant un juge en vue d'une information judiciaire. Les charges retenues incluent participation à un groupement</strong visant à commettre des violences.
Les circonstances aggravantes de cette affaire comprennent la réunion de plusieurs individus, la présence d'armes et la préméditation. Ces éléments soulignent la gravité de l'incident.
Cette agression a provoqué une onde de choc au sein de la communauté politique, notamment à gauche. Un rassemblement antifasciste a eu lieu le lendemain devant la gare de l'Est, attirant de nombreuses personnes solidaires.
Les participants ont exprimé leur indignation face à la montée de la violence d'extrême droite à Paris. Le climat de tension a été palpable, illustrant la nécessité de lutter contre ces actes.
L'agression survenue à l'association ACTIT met en lumière les dangers croissants de la violence politique. Les autorités doivent prendre des mesures pour assurer la sécurité des espaces culturels et promouvoir un dialogue pacifique. La situation reste préoccupante, et la vigilance est de mise.